Témoignages
Dans l'Apocalypse (3:20) nous trouvons cette belle promesse: « Voici, je me tiens à la porte et je frappe: si quelqu'un entend ma voix et m'ouvre la porte, j'entrerai chez lui, et je souperai avec lui, et lui avec moi. » Il y a vingt-quatre ans, le Christ guérisseur, la Vérité, qu'à notre époque Mary Baker Eddy révéla par la Science Chrétienne, vint frapper à notre porte et fut bien accueilli.
Mon respect et ma gratitude envers notre Leader, Mary Baker Eddy, augmente chaque jour, et j'apprécie davantage ce qu'elle a fait pour toute l'humanité en nous donnant la Science Chrétienne. A l'âge de huit ans, j'eus à la cheville gauche un mal affectant les os et j'en souffris pendant dix-huit mois.
Je tiens à exprimer ma gratitude pour le réconfort et la protection que m'a donnés la Science Chrétienne pendant l'année où j'étais aux îles Salomon, dans les troupes du génie. « Jusqu'ici, mais pas plus loin » ceci me maintes fois à la pensée, car je fus si souvent protégé.
J'avais environ douze ans lorsque ma mère passa deux années au lit. Un soir, comme elle semblait approcher de sa fin, on fit venir notre pasteur qui dans une conversation avec mon père, examina la méthode de guérison employée par Jésus.
La Science Chrétienne montre la voie qui conduit au vrai succès. Elle m'a appris comment faire régner au foyer l'harmonie et la bonne entente; des maux de toutes sortes ont été guéris, en général d'une manière rapide et simple.
Mon premier témoignage a paru dans la Christian Science Sentinel du 1 er novembre 1930 et je puis dire avec reconnaissance que toutes les guérisons décrites ont été permanentes. Parmi les nombreuses bénédictions reçues dès lors, je citerai l'établissement d'un foyer où l'on met en pratique la Science Chrétienne.
Les témoignages sur la Science Chrétienne m'ont tellement aidée que je tiens moi aussi à dire les bienfaits reçus. Cette admirable religion est mon soutien depuis nombre d'années et j'ai été témoin de bien des guérisons.
Je suis très reconnaissante au sujet de la Science Chrétienne et de ce qu'elle a fait pour moi; aussi voudrais-je parler d'une guérison qui remonte à quelques années. J'étais dans une concession minière, à Owens Valley, en Californie, parmi les contreforts des Sierras.
Lorsqu'en 1919, pendant une épidémie, je fus fortement atteint par la grippe, je me tournai vers Dieu en toute humilité. Je pouvais tout juste me rappeler l'oraison dominicale — ayant très peu prié depuis mon enfance — mais j'en répétai mentalement les paroles.
Une profonde reconnaissance me pousse à dire ce que notre Père-Mère Dieu a fait pour moi. En 1923 la lumière de la Vérité me fut révélée par une dame que je connaissais un peu.