Témoignages
Il y a huit ans environ, l'un de mes fils m'offrit un billet d'avion pour accompagner ses deux jeunes enfants à Porto Alegre. Je m'attendais à ce que le voyage de retour se passe harmonieusement et me remémorais ces paroles du psalmiste: « Où irais-je loin de ton esprit, et où fuirais-je loin de ta face ? » (Ps.
Je promenais mon chien quand, soudain, j'ai trébuché et je suis tombée. J'ai appris plus tard que j'avais perdu connaissance et que les aboiements de mon chien avaient alerté les voisins.
Il y a bien longtemps que je souhaite apporter ce témoignage qui m'a encouragée si souvent ces dernières années. Je me trouvais alors en compagnie de ma mère dans un très beau jardin et l'endroit était si paisible et si beau que je me sentis soudain remplie d'une immense gratitude pour Dieu et la présence tangible de Son amour.
La guérison qui suit s'est produite après que mon dentiste m'eut informée qu'il lui serait impossible de soigner mes dents davantage à moins que je n'accepte d'aller consulter un spécialiste. Ce n'était pas la première fois qu'il me faisait cette recommandation, mais il s'est montré si insistant ce jour-là que j'ai suivi son conseil.
Il y a environ un an, les idées exprimées dans un article du Christian Science Journal ont bien fait ressortir pour moi l'importance de garder constamment la pensée en accord avec la réalité divine du lien qui unit l'homme à Dieu, en tant que Son enfant parfait. J'eus bientôt l'occasion de mettre en pratique cette vérité fondamentale.
« Je célébrerai le nom de Dieu par des cantiques, je l'exalterai par des louanges. » (Ps.
En septembre 1991, j'ai souffert de ce qui semblait être une pneumonie. Pendant une période de trois semaines j'avais toujours plus de difficulté à respirer et les nuits étaient particulièrement pénibles.
« Cette statue était immense, et d'une splendeur extraordinaire.
Au début de l'année 1995, j'ai eu un genou qui est devenu douloureux, lorsque je faisais certains mouvements et notamment après avoir marché pendant quelque temps. J'ai rejeté la croyance à la douleur, la suggestion qu'elle puisse avoir une réalité ou un pouvoir, et j'ai affirmé que j'étais parfait puisque je suis l'enfant parfait de Dieu.
J'ai souvent entendu ma mère parler de ma première guérison dont j'aime toujours me rappeler. Je n'avais apparemment pas pu garder la nourriture pendant plusieurs jours et aucun médecin de la ville n'avait réussi à faire quelque chose pour moi.