Au printemps dernier, alors que je travaillais dans mon bureau, à la maison, je me suis senti mal. C’était juste après la fermeture des commerces dans ma région en raison de la pandémie mondiale, mais avant que ne soit donné l’ordre de rester à son domicile. L’idée m’est venue d’aller faire un tour pour prier et prendre l’air. Je profitais de cette belle journée de début de printemps quand, en marchant, j’ai eu une sorte d’étourdissement et je me suis senti très faible. J’ai réussi à rentrer chez moi, et j’ai appelé un praticien de la Science Chrétienne pour lui demander un traitement par la prière.
Puis j’ai ouvert ma Bible au psaume 91, avec lequel je priais beaucoup à cette époque. Cette fois-ci, lorsque je l’ai lu, j’ai été particulièrement frappé par le 14e verset, où Dieu dit : « Puisqu’il m’aime, je le délivrerai ; je le protègerai, puisqu’il connaît mon nom. »
C’est la dernière partie de ce verset qui a attiré mon attention. Je me suis demandé quel était le nom de Dieu et ce que cela apportait de le connaître. Comme je prie presque chaque jour en m’inspirant de la définition de « Dieu » que donne Mary Baker Eddy dans le Glossaire de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, j’ai tout de suite pensé à cette définition : « Le grand Je suis ; Celui qui sait tout, qui voit tout, en qui est toute action, toute sagesse, tout amour, et qui est éternel ; Principe ; Entendement ; Ame ; Esprit ; Vie ; Vérité ; Amour ; toute substance ; intelligence. » (p. 587)
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