L’été dernier, je suis allée faire une promenade avec des amis au Parc de Saint-Cloud, en périphérie de Paris. J’ai pris le métro pour les y rencontrer et, trois arrêts avant le terminus où je devais descendre, presque tout le monde a débarqué et a traversé le quai pour prendre un train différent.
J’ai finalement décidé de suivre la foule. Mais, alors que je passais la tête par la porte de la nouvelle rame de métro pour demander si celui-ci allait bien à Saint-Cloud, ses lourdes portes se sont refermées violemment sur ma tête, coinçant mes deux tempes. Les portes de métro se ferment rapidement et brutalement, mais elles s’arrêtent quelques centimètres avant la fermeture complète pour permettre aux gens de retirer les manteaux ou les sacs qui seraient restés coincés. Cependant, ma tête étant plus large que ces quelques centimètres, et les portes du métro n’étant pas semblables à celles des ascenseurs qui se rouvrent immédiatement, elles ont continué de forcer sur ma tête pour se fermer.
Trois hommes ont bondi et ont tiré sur les portes pour les rouvrir, et je suis alors entrée en titubant à l’intérieur de la rame. J’étais tout étourdie et ma tête me faisait souffrir, mais un énoncé fort utile sur la guérison, que j’avais lu récemment, est immédiatement revenu à ma pensée. C’était un extrait du sermon de Mary Baker Eddy intitulé La guérison chrétienne : « La Science Chrétienne rejette le témoignage des sens et repose sur la suprématie de Dieu. La guérison chrétienne, établie sur ce Principe, justifie de l’omnipotence de l’Etre Suprême en n’employant aucun autre remède que la Vérité, la Vie et l’Amour, bien compris, pour guérir tous les maux auxquels la chair est sujette. » (p. 15)
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