Je travaillais dans un journal où je vendais des espaces publicitaires, et je parcourais la ville à la recherche de clients.
Il pleuvait. Je traversais la rue sur un passage pour piétons quand, tout à coup, une camionnette est arrivée du coin de la rue à toute vitesse ; elle n'a pas dû me voir. Ma première pensée a été : « C’est la fin. » J’avais peur de mourir. Mais la pensée suivante a été : « Non ! Dieu me gouverne et me protège ! Dieu est présent à l’instant même ! Je suis en sécurité. » Le conducteur m’a percutée et renversée.
Une femme est sortie d’un commerce après avoir entendu le bruit produit par le choc et elle m’a demandé si j’avais besoin d’une ambulance. Je lui ai répondu par la négative. Je préférais me tourner vers ce qui m’avait si souvent aidée : la Science Chrétienne. J’avais déjà été guérie par la prière et j’avais confiance en son efficacité. J’ai immédiatement appelé une praticienne de la Science Chrétienne avec mon téléphone portable. Elle a partagé avec moi des idées spirituelles auxquelles je pouvais m’accrocher, et elle a commencé à prier.
J’étais tout endolorie et sans force, mais j’ai réussi à rentrer à la maison. Je suis restée au lit pendant quelques jours, et la praticienne a continué à prier. Elle m’a rappelé qu’il n’y a pas d’accident dans l’Entendement divin, qui est la substance même de mon être, et elle a partagé avec moi d’autres vérités spirituelles. Les paroles de cantiques qui me sont familiers m’ont également aidée, notamment celui-ci : « Dieu te dit de régner : Le monde t’est soumis ! » (Emily F. Seal, Hymnaire de la Science Chrétienne, No. 382, trad. © CSBD).
Parallèlement à cela, un passage de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy m’a rappelé comment exercer cette domination donnée par Dieu. Il est écrit : « Gardez la porte de la pensée. N’admettez que les conditions dont vous voudriez voir les effets se réaliser sur le corps, et vous vous gouvernerez harmonieusement. Lorsque se présente la condition qui, selon vous, occasionne la maladie, que ce soit l’air, l’exercice, l’hérédité, la contagion ou un accident, faites bien votre devoir de gardien et fermez la porte à ces pensées et à ces craintes malsaines. » (p. 392)
Après quelques jours, je me suis levée complètement libérée. Cela s’est passé en 2006, et je n’ai jamais eu de séquelles. Je suis extrêmement reconnaissante envers la Science Chrétienne.
Je remercie Dieu pour la venue de Jésus, ainsi que pour la détermination et la conviction de Mary Baker Eddy, qui a persévéré dans sa vision pour nous apporter la vérité de la Science Chrétienne qui a guéri depuis la fin des années 1800 des dizaines de milliers de personnes, et qui a aussi été mise en pratique pour guérir d’innombrables animaux, dans le monde entier.
Mindy Fradkin
Newburgh, New York, Etats-Unis
