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Comment les symptômes de la varicelle ont été vaincus

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 2021

Paru d'abord sur notre site le 11 octobre 2021


Lorsque l’un de mes fils était enfant, la varicelle était une maladie contagieuse préoccupante. J’avais vu des enfants lutter contre elle, aussi ai-je reconnu les symptômes quand ils se sont manifestés chez mon fils. Pour obéir aux lois de mon pays et par amour pour autrui, j’avais l’intention de mettre mon enfant en quarantaine jusqu’à ce que tous les symptômes aient disparu, ce qui prend en général deux semaines. En regardant mon fils, j’ai su que je pouvais me tourner vers Dieu pour sa guérison, et j’ai affirmé catégoriquement en moi-même : « Non ! cela ne fait pas partie de l’enfant parfait de Dieu. » Comme il n’était pas conscient des symptômes, je l’ai laissé jouer seul, et j’ai appelé un praticien de la Science Chrétienne pour lui demander de prier pour nous.

Mon affirmation s’appuyait sur cet énoncé de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy : « Les trois grandes vérités de l’Esprit, l’omnipotence, l’omniprésence, l’omniscience – l’Esprit possédant tout pouvoir, remplissant tout l’espace, constituant toute Science – contredisent pour toujours la croyance que la matière puisse être réelle. »  (p. 109) Par conséquent si l’Esprit, non la matière, était la vraie substance de tout, alors la maladie n’avait rien à quoi s’attacher ni aucune substance véritable. Et si la matière et la maladie n’ont pas de substance réelle, alors c’est la pensée qui est l’élément important à traiter.

J’avais conscience qu’en réalité cet enfant et tous les enfants sont les expressions de l’Amour et de la Vie. Dans le Glossaire de Science et Santé, où l’on trouve les interprétations métaphysiques de termes bibliques, notre Leader définit les « enfants » comme notamment « les pensées spirituelles et les représentants spirituels de la Vie, de la Vérité et de l’Amour » (p. 582). Mon adorable enfant, de même que tous les enfants de Dieu, reflétait uniquement le bien pur en tant que création de Dieu – Lui qui est la source de tout bien et seulement du bien. Puisque Dieu est le bien tout-puissant et le créateur de tout ce qui est réel, cet enfant ne pouvait être que parfait sous tous ses aspects.

J’ai également compris que les enfants (ainsi que tous les individus) dans leur identité spirituelle véritable ne sont porteurs d’aucune maladie. Tous les enfants de Dieu (petits et grands), créés spirituellement à Son image, ne peuvent être que des « porteurs » ou expressions de la santé et du bien ; des porteurs d’espoir et de guérison ; des porteurs d’amour.

Lorsqu’on sait cela et qu’on le comprend dans une certaine mesure, il n’y a rien à craindre, que la maladie paraisse grave ou qu’on la considère comme un mal bénin qui va rapidement disparaître. Puisqu’aucune maladie n’est créée par Dieu, ce n’est qu’une croyance sans valeur réelle. Qu’importe que le chiffre zéro soit écrit en tout petit caractère sur l’écran d’un ordinateur ou qu’il soit peint en très grand sur un panneau d’affichage, dans les deux cas il ne représente rien. Il n’y a pas de « grand rien » et de « petit rien », il y a juste « rien ».

En l’occurrence, c’est ce que la maladie s’est avérée être : rien ! Durant la conversation avec le praticien, ma peur s’est envolée. Peu après, j’ai remarqué que mon fils avait le teint clair, tous les symptômes avaient disparu. Cela a marqué la fin des symptômes ou du développement de la maladie. Elle n’a pas disparu au bout de quelques jours ou de quelques semaines ; la guérison a eu lieu sur-le-champ. Il a été démontré que les croyances à la contagion et à la maladie n’ont pas le pouvoir qu’on leur prête. En réalité, il n’y avait rien à craindre. J’ai vu que Dieu, le bien, était tout-puissant et qu’Il gouvernait la situation. 

Les guérisons comme celle-ci prouvent que la matière et la maladie n’ont pas la substance qu’elles semblent avoir. Rejetant la peur et les croyances à la maladie, nous pouvons comprendre et accepter la santé que Dieu nous a donnée. Nous pouvons tous revendiquer et prouver la vérité spirituelle d’une existence harmonieuse, sous tous ses aspects.

Science et Santé le formule ainsi : « Lorsque l’illusion de la maladie ou du péché vous tente, attachez-vous fermement à Dieu et à Son idée. Que rien hormis Sa ressemblance ne demeure dans votre pensée. Que ni la crainte ni le doute n’obscurcissent votre sens lumineux et votre calme confiance que la récognition de la vie harmonieuse – comme l’est éternellement la Vie – peut détruire tout sens douloureux de ce qui n’est pas la Vie ou toute croyance en ce qu’elle n’est pas. » (p. 495)

Comme je suis heureuse que cette guérison montre ce qui est possible pour tous !

Cheryl Godfrey Fendon
Bishop, Californie, Etats-Unis

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