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Guérison rapide des conséquences d’un accident de ski

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 2020

Paru d'abord sur notre site le 28 novembre 2019.


C’était une splendide journée ensoleillée ! J’ai chaussé mes skis et je me suis dirigée vers les remontées mécaniques, prête à profiter pleinement de mes vacances. Arrivée en haut des pistes, alors que je m’apprêtais à descendre du siège, j’ai été percutée par un skieur et je suis tombée.

La douleur était insoutenable, et sur le moment j’ai été incapable de former la moindre pensée. J’étais blessée aux deux genoux. Au bout de quelques secondes, j’ai pu m’accrocher à cette seule pensée : « Père, viens à mon secours. » La douleur a aussitôt diminué, et j’ai retrouvé un peu mes esprits.

Les sauveteurs en montagne m’ont redescendue dans la vallée, où m’attendaient une ambulance et un médecin urgentiste. Je ne voulais pas être examinée, mais on m’a dit que les compagnies d’assurances l’exigeaient. On m’a donc examinée dans l’ambulance. Cependant, je savais qu’en m’appuyant sur la vérité concernant Dieu et sur ma perfection en tant que Son enfant, je possédais l’autorité divine pour renverser mentalement le diagnostic établi : j’avais les deux genoux en mauvais état et je devais subir une opération. J’ai pensé aux paroles réconfortantes de Jésus : « Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. » (Matthieu 19:6) Jésus parlait des liens conjugaux entre un homme et une femme, mais j’y ai aussi vu mon lien avec Dieu que rien ne pouvait briser, ce qui m’a raffermie. J’étais convaincue que le diagnostic ne pouvait ni atteindre, ni toucher, ni influencer ma conscience.

Les ambulanciers voulaient me conduire à l’hôpital après l’examen. Il m’a semblé que cela allait bien au-delà de ce qui était obligatoire, et j’ai donc signé une décharge pour pouvoir retourner à l’hôtel. L’un des ambulanciers m’a dit : « Eh bien, nous vous reverrons demain. Jusqu’à présent, tous ceux qui ont été aussi têtus nous ont rappelés le lendemain pour qu’on les emmène à l’hôpital. » J’ai aussitôt déclaré que cela ne serait pas le cas. Je savais que, grâce à la Science Chrétienne, la vérité de mon être se manifesterait.

Quand je suis arrivée à l’hôtel, j’ai emprunté un déambulateur pour aller dans ma chambre. Là, je me suis assise sur le lit afin de rassembler mes pensées et donner toute mon attention à Dieu et à la vérité concernant ma vraie nature, en tant que fille parfaite d’un Père-Mère Dieu parfait. J’ai affirmé que je vivais dans Son royaume, qui était absolument intact et dans lequel ne pouvait s’introduire aucune sorte de discordance. Il était clair pour moi qu’étant le reflet de Dieu, je reflétais la perfection. Il me fallait donc me détourner du tableau matériel afin de spiritualiser mes pensées et discerner le Christ, la Vérité.

Mary Baker Eddy écrit dans son ouvrage fondamental, Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Les accidents sont inconnus à Dieu, l’Entendement immortel, et nous devons abandonner la base mortelle de la croyance et nous unir à l’unique Entendement, afin de remplacer la notion de hasard par le vrai sens de la direction infaillible de Dieu et faire ainsi paraître l’harmonie.

« Sous la Providence divine, il ne peut y avoir d’accidents, puisque dans la perfection il n’y a pas de place pour l’imperfection. » (p. 424)

Je me suis attachée à cette vérité tirée de Science et Santé et j’ai maintenu le fait qu’étant une idée spirituelle, l’erreur ne pouvait ni me voir ni me découvrir. Cette apparence de blessure ne pouvait qu’être une suggestion, tout simplement une erreur résultant de « la base mortelle de la croyance », et je n’avais qu’à rejeter cette fausse supposition pour m’« unir à l’unique Entendement ».

Mes genoux me faisaient encore mal et ils étaient anormalement enflés quand je me suis endormie vers minuit. Mais j’ai dormi d’une traite jusqu’au matin, et je me suis réveillée reposée et complètement libérée de la douleur. Mes genoux n’étaient plus du tout enflés. Je me suis levée et j’ai marché avec le déambulateur pour aller prendre mon petit déjeuner.

Des clients de l’hôtel m’ont demandé si j’avais noté le nom et l’adresse de l’assurance de la personne responsable de l’accident. Je les ai remerciés de l’intérêt plein de gentillesse qu’ils me portaient, sans leur expliquer pourquoi je ne m’en étais pas souciée. La vraie raison était simple : si je me les étais procurés, j’aurais fait de la situation une réalité. Pour Dieu, l’Entendement immortel, rien n’était arrivé, ce que la guérison a démontré.

Trois jours plus tard, je nageais dans la piscine de l’hôtel, et quand je suis rentrée chez moi, j’ai repris ma routine quotidienne. J’étais complètement guérie de cet apparent accident de ski.

Elisabeth Groß
Munich, Allemagne

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