Quelle que soit la situation dans laquelle nous nous trouvons, notre façon de penser en détermine in fine l’issue. Je ne parle pas de la volonté de résoudre un problème, ou de toute forme de pensée positive, mais plutôt du fait de s’attacher à ce qui est fondamentalement vrai de manière à faire émerger une solution utile.
Qu’il s’agisse d’un élève de CM2 aux prises avec ses devoirs d’algèbre ou d’un ingénieur en aéronautique résolvant des équations thermiques complexes, travailler avec ce qui est vrai, ce qui est basé sur le principe des mathématiques ou les lois de la physique, apporte une solution aux problèmes, qu’ils soient simples ou complexes. Même si, au début, nous pouvons penser qu’un problème est insoluble, s’en tenir aux lois démontrées d’une méthodologie conduit à une résolution correcte.
Cette idée est illustrée dans une lettre de 1906 de James Rome à Mary Baker Eddy, la Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, au sujet de la construction de l’extension de L’Eglise Mère à Boston. En raison des innombrables obstacles rencontrés lors de ce projet, M. Rome avait estimé que la date de fin des travaux était impossible à tenir et qu’un retard était inévitable. Cependant, il explique s’être tourné en prière vers l’Amour divin – un autre nom pour Dieu : « J’ai incliné ma tête devant la puissance de l’Amour divin et je n’ai plus jamais eu de doute. » Puis il ajoute : « Il y a un aspect du travail qui m’a intéressé. J’ai remarqué que dès que les ouvriers ont commencé à admettre que le travail pouvait être terminé à temps, tout a semblé avancer comme par magie ; l’entendement humain donnait son consentement. » (voir La Première Eglise du Christ, Scientist et Miscellanées, p. 60-62)
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