Mes parents possédaient une ancienne édition de poche du livre des Psaumes. Quand je l’ai ouverte, vers l’âge de huit ans, je suis tombée sur les premiers versets du premier psaume que voici : « Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Éternel, et qui la médite jour et nuit ! »
A l’école de filles où j’allais, les comportements, y compris le mien, n’étaient pas conformes à ce que j’apprenais à l’école du dimanche. Ce passage des Psaumes m’en a fait prendre conscience, et je me rappelle avoir décidé de ne plus me moquer de mes petites camarades et de ne pas participer à la propagation de médisances. Je crois bien que c’était la première fois que je mettais ainsi en pratique, par moi-même, ce que m’enseignait la Science Chrétienne.
J’ai appris depuis, en continuant d’étudier cette Science, qu’une purification de la pensée entraîne la guérison. C’est vrai pour votre pensée, mais aussi pour celle de ceux qui vous entourent. L’article intitulé « Guérir malgré la crainte » le fait clairement ressortir.
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