Quand la haine et l’indifférence de l’expérience humaine,
D’un épais brouillard ont enveloppé notre conscience,
Plongés dans cette nuit noire, les instants nous interrogent,
Nous empêchant de discerner la porte de l’espérance.
Notre foi est plus que jamais interpellée à cette heure,
Nous invitant à répondre au divin appel.
Dans une attente pieuse et joyeuse,
Et une confiance ô combien renouvelée en Dieu,
Nous voyons jaillir cette lumière libératrice.
Comme le disciple bien-aimé
Sur les bords de la mer de Tibériade,
Nous nous écrions :
« C’est le Seigneur ! »
Le Christ de nouveau sur les rives du temps nous est révélé
En illuminant notre chemin.
Torpeur et doute s’évanouissent.
Nous sortons et marchons, libres dorénavant,
Car le Christ a roulé la pierre
Qui obstruait la porte de notre espérance.
Réjouissons-nous, le sépulcre est descellé.
Nous sommes victorieux.
Une fois de plus, c’est Pâques !
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