Jadis le Christ, aux cœurs souffrants,
Donnait le réconfort
Et son amour compatissant
Rendait le faible fort.
(John Greenleaf Whittier, Hymnaire de la Science Chrétienne, no 96, traduction © CSBD)
Je vous invite à lire ce beau cantique dans son intégralité. Il nous rappelle que le Christ éternel et intemporel traverse les siècles. Jésus l’a représenté et exprimé en nous montrant comment démontrer la Vérité qui guérit et sauve. Bien avant lui, les patriarches et d’autres personnages bibliques avaient déjà perçu la présence du Christ. Et la Science divine, le Consolateur promis par Jésus, a été révélée à Mary Baker Eddy qui l’a transmise à toutes les générations. Notre éditorial du mois, « Vivre pour “illustrer l’exemple de notre Maître ressuscité” » nous parle, entre autres choses, de cette continuité du Christ.
Le Christ est une influence divine et active dans notre vie, le message de Dieu s’adressant à la conscience humaine (voir Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 332). Il se manifeste à l’humanité par cette « petite voix » qui nous parle au moment où nous en avons le plus besoin. Le Christ nous rassure, nous réconforte, nous guérit et nous donne la force nécessaire pour combattre et corriger les pensées négatives qui nous assaillent parfois, en nous révélant qu’elles ne viennent pas de Dieu.
Face à la violence, un verset du livre des Psaumes, « La bonté de l’Eternel remplit la terre » (33:5), m’a beaucoup aidée, en me faisant prendre conscience de la toute présence éternelle de Dieu, qui aime chacune de Ses idées spirituelles, Ses enfants. Ce Dieu bon emplit tout l’espace et ne laisse de place ni à la haine ni à la peur. C’est ce que Christ Jésus est aussi venu nous montrer. L’auteur de l’article « Ne crains rien » fait d’ailleurs ressortir que la peur peut être chassée grâce à une meilleure compréhension de la nature de Dieu.
Très chers lecteurs, en cette époque troublée, je vous souhaite de trouver la paix, en ayant l’assurance que Dieu vous entoure constamment de Son amour, cet amour que l’on trouve en Christ.
Bien affectueusement,
Sylvie Updegraff
