On sous-estime souvent la joie dans le processus de guérison, et pourtant une joie paisible est un facteur de libération. Beaucoup pensent que la joie est juste une émotion agréable, mais c’est un sentiment plus important et plus profond que cela. Lorsque j’en ai parlé avec des amis, l’un d’entre eux a défini la joie comme étant « satisfaction » tandis que pour un autre, elle était « paix » et « harmonie ».
Le prophète Sophonie affirme : « L’Eternel, ton Dieu, est au milieu de toi, comme un héros qui sauve ; il fera de toi sa plus grande joie ; il gardera le silence dans son amour ; il aura pour toi des transports [chants] d’allégresse. » (3:17) Dans ce verset poétique, la réjouissance et l’allégresse représentent une grande partie de l’activité de Dieu. Puisque nous sommes créés à Son image, nous reflétons et exprimons forcément cette joie. Selon Sophonie, Dieu a pour nous des chants d’allégresse. La joie est donc une mélodie qui est à la base du bien-être. Il n’est pas question de fardeau ici. L’affliction n’est pas un chant divin. Dans la mesure où l’on s’attache à la totalité de Dieu, les fardeaux s’allègent.
Efforçons-nous de mieux connaître ce Dieu qui est « au milieu de [nous] » et maintenons notre position avec joie.
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