Il y a quelque temps, l'un de mes poignets est soudain devenu rouge et enflé. Il me faisait mal chaque fois que je le bougeais. Une collègue, qui n'est pas scientiste chrétienne, m'a dit que c'était parce l'articulation du poignet n'était plus lubrifiée, ce qui, expliquait-elle, arrive souvent avec l'âge.
Cette amie, qui est beaucoup plus jeune que moi, a ajouté qu'elle avait eu le même problème aux genoux. Je me suis rappelé que, quelques mois plus tôt, elle portait un bandage aux genoux et marchait avec une canne. Elle m'a dit qu'elle se procurait ses médicaments aux États-Unis par l'intermédiaire d'une parente qui vivait là-bas. Depuis peu, ces médicaments étaient en vente à Jakarta, mais ils étaient très chers. C'est pourquoi ma collègue préférait les faire venir des États-Unis.
Une autre amie m'a conseillé de me soigner avec des raisins secs et du gin sec. Je les ai remerciées toutes les deux de leur sollicitude, mais je savais que, pour moi, la meilleure thérapeutique était la Science Chrétienne.
En étudiant la Leçon biblique de la Science Chrétienne de la semaine, j'ai lu l'histoire d'une femme atteinte de pertes de sang depuis douze ans. Elle avait consulté bien des médecins et dépensé tout son argent sans résultat. Quand elle entendit parler de Jésus, elle traversa la foule et s'approcha de lui par derrière, toucha son vêtement et fut guérie. Jésus lui dit alors: « Ma fille, ta foi t'a sauvée; va en paix, et sois guérie de ton mal. » (Voir Marc 5:25-34) Pour moi, la clé de cette guérison a été sa « foi ». Elle était certaine d'être guérie rien qu'en touchant Christ Jésus.
Dans le livre d'étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mary Baker Eddy écrit: « La guérison physique par la Science Chrétienne résulte, aujourd'hui comme au temps de Jésus, de l'opération du Principe divin, devant laquelle le péché et la maladie perdent leur réalité dans la conscience humaine et disparaissent aussi naturellement et aussi nécessairement que les ténèbres font place à la lumière et le péché à la réforme. » (p. xi)
J'ai réfléchi à cet énoncé ainsi qu'à la définition suivante tirée du même livre: « HUILE. Consécration; charité; douceur; prière; inspiration céleste. » (p. 592) j'ai compris que l'« huile » qui donne de la fluidité à toutes mes activités, ce sont ces qualités spirituelles qui ne tarissent jamais.
J'ai passé toute une journée à prier avec ces idées, en m'efforçant d'absorber pleinement leur signification. Le lendemain matin, j'ai constaté avec joie que mon poignet avait complètement désenflé et qu'il fonctionnait normalement. Depuis, je l'utilise sans jamais ressentir la moindre douleur.
Je suis très reconnaissante envers notre Dieu tout aimant et miséricordieux, qui n'a conçu que le bien et qui n'a jamais créé le péché, la maladie ni la mort. Je suis également reconnaissante envers Christ Jésus qui est venu au monde pour nous enseigner la vérité concernant Dieu, et nous montrer comment guérir la maladie et le péché. Enfin, je suis reconnaissante envers Mary Baker Eddy, qui a rétabli l'élément perdu de la guérison propre au christianisme afin que nous puissions en bénéficier aujourd'hui. Je suis très heureuse de connaître la Science Chrétienne.
JAKARTA
PUBLIÉ À L'ORIGINE SUR LE SITE INTERNET INDONÉSIEN DU HÉRAUT, EN SEPTEMBRE 2012.
