Les accords de la Sonate au claire de lune de Beethoven
me rappellent comment le Christ œuvre dans la pensée:
simplement,
fermement,
doucement.
Si les cuivres d’une fanfare éclataient à travers ma maison,
on pourrait me jouer la sonate,
je ne l’entendrais pas.
Et si, à travers ma maison,
éclatent les trombones du sens personnel,
résonnent les cymbales de la propre pitié,
retentissent les clairons de la vanité,
je n'entendrais pas la totalité
de la musique de l’Ame
dont l'harmonie pourtant ne cesse jamais.
Rien d'étonnant à ce que Jésus ait dit:
« Entre dans ta chambre,
ferme ta porte... »
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