Nous pouvons avoir des conditions de vie meilleures !

L'humanité est toujours préoccupée par l'état des choses. L'économie, la santé, l'église, la politique — nationale et internationale — le temps et les récoltes, le mariage et la famille, ainsi que les situations dans nos villes — de temps à autre, ces questions demandent à être considérées avec beaucoup d'attention. Certaines conditions pénibles résistent à toutes tentatives humaines visant à les corriger. Bien des gens se sont posé cette question: « Existe-t-il une intelligence suprême — une force totalement bienfaisante — à laquelle on pourrait faire appel pour trouver les solutions dont nous avons si désespérément besoin ? »

La Bible abonde en textes nous assurant qu'un tel pouvoir existe bien en effet. Cette prière de Jérémie est l'une de ces nombreuses déclarations convaincantes: « Ah ! Seigneur Éternel ! C'est toi qui as fait le ciel et la terre par ta puissance et par le pouvoir de tes mains; rien n'est trop difficile pour toi. » ^{Jér. 32:17 (version synodale);}

Les systèmes de pensée matériels et traditionnels comprennent, en croyance, un prétendu entendement mortel, nommé quelquefois « entendement charnel ». Toute discordance, qu'elle concerne un individu ou un groupe de personnes, est fondamentalement la croyance que l'entendement mortel (une force mentale hypothétique opposée à Dieu, le bien) détermine les conditions qui s'imposent à l'humanité. Mais le fait spirituel est que l'Entendement divin tout harmonieux conditionne l'être véritable de l'homme. Dieu donne à Ses idées pures le pouvoir d'agir en toute conscience réelle. Cette véritable identité de l'homme, lorsqu'elle est comprise et mise en pratique, agit en tant que facteur d'harmonie dans les situations humaines. Mais le devoir qui nous incombe est d'apprendre à permettre aux seules pensées pures de Dieu de délinéer nos conclusions et nos actions. Mrs. Eddy écrit dans Science et Santé: « L'Entendement immortel, gouvernant tout, doit être reconnu comme suprême, tant dans le prétendu domaine physique que dans le domaine spirituel. » ^{Science et Santé, p. 427;}