Il existe une loi morale à la base des affaires qui, lorsqu'elle est en vigueur, leur donne une dimension plus vaste, les élève audessus du simple désir d'acquisition et fait ressortir les qualités plus hautes de ceux qui s'y emploient. L'obéissance à cette loi ajuste équitablement les bénéfices selon les services rendus et lie les hommes d'affaires à un code qui règle la manière de conduire les affaires d'une façon appropriée. Toutefois, si l'on néglige cette loi ou qu'on l'enfreint délibérément, la pratique des affaires est réduite au niveau de la chicanerie.
Celui qui tente de rendre un service dans un but lucratif, se voit face à des facteurs variables dont un grand nombre ont trait à la nature humaine et aux relations personnelles. La Science Chrétienne offre à l'homme d'affaires une façon d'aborder ces facteurs où l'influence divine apporte à ses activités une dimension plus élevée qui favorise à la fois le service et le bénéfice.
La loi morale provient d'une source divine. Par conséquent si quelqu'un vit et conduit ses affaires selon cette loi, il se place virtuellement entre les mains d'une puissance susceptible d'ajuster ses activités pour le plus grand bien de tous. Selon la loi morale, acheteur et vendeur doivent tous deux profiter de chaque transaction. Et c'est là une condition qui s'applique aussi bien aux rapports unissant employeur et employé, débiteur et créancier.
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