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Si je ne partageais pas la bonne nouvelle de...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1971


Si je ne partageais pas la bonne nouvelle de la guérison suivante, ce serait bien là une marque d'ingratitude. Le témoignage des autres m'a si souvent aidée à trouver la solution de mes propres problèmes. Il y a quelque temps, je revenais d'un voyage en Terre Sainte. Je commençai à ressentir une forte douleur dans le côté, qui se propagea rapidement jusqu'au ventre, où se manifesta bientôt une enflure. Je demandai de l'aide à une praticienne de la Science Chrétienne. Lors d'une réunion de témoignages, un mercredi soir, dans une filiale de l'Église du Christ, Scientiste, une dame raconta comment elle avait été guérie d'une tumeur, et j'étudiai des guérisons sons du même genre que l'on trouve dans le livre A Century of Christian Science Healing [La Science Chrétienne: un siècle de guérisons]. La douleur cessa, mais non le malaise ni la protubérance en question.

Ma mère et deux de ses sœurs étaient décédées du cancer quelques années auparavant. La crainte devint intense. J'eus des moments où je me sentais littéralement tourmentée par la tentation de recourir à la chirurgie avant qu'il ne soit trop tard. Mais ce que je désirais vraiment, c'était de compter sur Dieu seul comme Médecin et c'est en Lui seul que je mettais ma confiance.

Pendant cette période, je lus Science et Santé de Mrs. Eddy d'un bout à l'autre. Je fis plus que lire. Je chéris dans mon cœur presque chaque phrase de ce livre. Le passage suivant à la page 418, occupait constamment ma pensée: « Les tumeurs, les ulcères, les tubercules, l'inflammation, la douleur, la déformation des articulations ne sont que des ombres du rêve de l'existence humaine à l'état de veille, de sombres images de la pensée mortelle qui s'évanouissent à la lumière de la Vérité. » Je savais qu'aucun chirurgien ne pouvait enlever une sombre image de la pensée mortelle. Un certain verset de la Bible me fut aussi d'un grand secours: « La parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur » (Hébr. 4:12).

J'appris à exprimer davantage de gratitude. La première fois que je pus me coucher sur le dos sans souffrir fut pour moi un moment extraordinaire. Parfois la difficulté empirait et je ne pouvais, pendant de longs jours, garder aucune nourriture. Un jour, mon état s'était aggravé. On fit venir une parente qui habitait assez loin. Il parut plus sage de me faire admettre dans une maison de repos de la Science Chrétienne. Là, dans cette atmosphère d'amour et de service dévoué de la part du personnel, et grâce au travail loyal d'une praticienne, je fus guérie. La douleur cessa, l'erreur fut dissoute, s'élimina. L'abdomen reprit sa forme naturelle et normale.

J'étais si heureuse et si reconnaissante que je voulais que tout le monde sache que j'avais été guérie. Avec beaucoup d'amour on me fit alors remarquer que la guérison ne serait complète que lorsque j'aurais compris que cette maladie n'avait jamais comporté une once de réalité. Je commençai à me rendre compte qu'en fait, la masse d'erreur qui s'était dissoute n'était qu'une masse de pensées erronées.

Dans le livre A Century of Christian Science Healing se trouve cette déclaration (p. 117): « Par moment, le chemin avait l'air obscur et sombre, mais l'expérience m'a appris qu'il n'existe pas de tunnel sans fin, et que quand on en sort, on est en pleine lumière. » C'est cette lumière qui m'a montré sans l'ombre d'un doute que la Science Chrétienne guérit. Je suis reconnaissante pour Christ Jésus, notre Guide, pour Mrs. Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, et pour le travail dévoué des gardesmalades et des praticiens de la Science Chrétienne.


C'est avec une profonde joie que je confirme les détails de la merveilleuse guérison par la Science Chrétienne de ma tante, Madame Emma Vandenberg. Je ne l'ai jamais entendue se plaindre au cours des trois ans pendant lesquels cette maladie parut si intense et pendant lesquels elle ne put entreprendre aucun long voyage ni porter ses vêtements habituels. Assurément sa fidélité envers le Christ qui guérit, aussi bien que sa confiance, telle celle d'un petit enfant, qu'elle avait de recouvrer la santé, contribuèrent à amener la guérison finale.

Nous sommes revenus récemment d'un voyage de quinze jours à Hawaï. J'ai vu là ma tante monter de longs escaliers pour atteindre un point de vue, marcher des kilomètres sans fatigue, nager au milieu de grosses vagues avec la même facilité, la même endurance et le même plaisir que lorsque nous vivions là il y a plus de quarante ans. N'estce pas là la preuve extraordinaire d'une parfaite guérison ? Mais ce qui est encore de beaucoup le plus inspirant, c'est de voir qu'avec la guérison physique elle a été libérée de frayeurs et de phobies qui l'avaient tourmentée pendant des années. Aujourd'hui, elle manifeste une paix et une sérénité qu'elle n'avait jamais connues auparavant. Combien Dieu est bon, et comme je Lui suis profondément reconnaissante pour cette guérison par la Science Chrétienne !


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