Si je ne partageais pas la bonne nouvelle de la guérison suivante, ce serait bien là une marque d'ingratitude. Le témoignage des autres m'a si souvent aidée à trouver la solution de mes propres problèmes. Il y a quelque temps, je revenais d'un voyage en Terre Sainte. Je commençai à ressentir une forte douleur dans le côté, qui se propagea rapidement jusqu'au ventre, où se manifesta bientôt une enflure. Je demandai de l'aide à une praticienne de la Science Chrétienne. Lors d'une réunion de témoignages, un mercredi soir, dans une filiale de l'Église du Christ, Scientiste, une dame raconta comment elle avait été guérie d'une tumeur, et j'étudiai des guérisons sons du même genre que l'on trouve dans le livre A Century of Christian Science Healing [La Science Chrétienne: un siècle de guérisons]. La douleur cessa, mais non le malaise ni la protubérance en question.
Ma mère et deux de ses sœurs étaient décédées du cancer quelques années auparavant. La crainte devint intense. J'eus des moments où je me sentais littéralement tourmentée par la tentation de recourir à la chirurgie avant qu'il ne soit trop tard. Mais ce que je désirais vraiment, c'était de compter sur Dieu seul comme Médecin et c'est en Lui seul que je mettais ma confiance.
Pendant cette période, je lus Science et Santé de Mrs. Eddy d'un bout à l'autre. Je fis plus que lire. Je chéris dans mon cœur presque chaque phrase de ce livre. Le passage suivant à la page 418, occupait constamment ma pensée: « Les tumeurs, les ulcères, les tubercules, l'inflammation, la douleur, la déformation des articulations ne sont que des ombres du rêve de l'existence humaine à l'état de veille, de sombres images de la pensée mortelle qui s'évanouissent à la lumière de la Vérité. » Je savais qu'aucun chirurgien ne pouvait enlever une sombre image de la pensée mortelle. Un certain verset de la Bible me fut aussi d'un grand secours: « La parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur » (Hébr. 4:12).
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