C'est avec un profond sentiment d'humilité et de gratitude envers la Science Chrétienne que je désire relater les guérisons suivantes. Il y a bien longtemps, alors que je commençais l'étude de la Science, je fus atteint d'une sorte de paralysie. Mon état alarma mon père, qui n'était pas Scientiste, car j'avais décliné le traitement médical. Quoique étudiant la Science régulièrement et comprenant de plus en plus le pouvoir guérisseur irrésistible de la Vérité, je jugeai sage de demander l'aide d'un praticien de la Science Chrétienne. C'est ce que je fis et, à l'étonnement de mon père, je fus guéri en un peu plus d'une semaine de cet état qu'un médecin de nos amis avait cru et déclaré incurable.
Plus tard, participant à un important match de tennis, je me foulai une cheville. J'avais appris dans la Science Chrétienne l'importance de nier immédiatement le témoignage discordant des sens. Je déclarai donc sur-le-champ que cette évidence matérielle était un mensonge, directement opposé à la vérité de l'homme. L'homme réel, étant l'image et la ressemblance spirituelles de Dieu, ne peut être la victime d'un accident. Je déclarai que l'homme ne cessait de refléter l'activité infinie.
Bien qu'il fût difficile d'agir ainsi, je continuai le jeu sans attirer l'attention de mon partenaire ou des spectateurs, dont beaucoup étaient assis tout près du court. Lorsque je lançai la balle pour servir et continuer ainsi le jeu, j'éprouvai une sensation particulière à la cheville. Elle était guérie et je poursuivis avec succès cette partie et une autre encore, terminant le tournoi de ce jour-là sur ce terrain.
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