La Science Chrétienne me fut présentée peu après la première guerre mondiale, lorsque je parlai à un commerçant qui avait été guéri de la tuberculose par l’application de ses enseignements. Il m’invita à une réunion du mercredi soir dans une Église du Christ, Scientiste, où se donnent des témoignages, et je fus si frappé que je résolus de voir ce que la Science Chrétienne pouvait faire pour moi. J’avais subi une opération pour une affection de la gorge, mais les docteurs m’avaient dit qu’il me serait nécessaire d’en subir une autre et m’avaient recommandé un changement de climat.
J’entrepris l’étude de la Science Chrétienne, demandai de l’aide à un praticien et fus guéri sans avoir à subir une seconde opération. Comme j’avais droit à une indemnité du gouvernement, mon état maladif étant attribué aux circonstances dans lesquelles je m’étais trouvé outre-mer pendant mon service militaire, je fus obligé d’aller consulter un médecin; celui-ci me dit qu’il devait y avoir une erreur à mon sujet, car il n’y avait plus aucune trace de la première opération. Il dit aussi qu’il devrait recommander la suspension de mon chèque mensuel, ce qui fut exécuté. Je passai aussi un autre examen et l’on ne trouva rien d’anormal.
Ma femme étudiait alors la Bible avec ardeur et enseignait à l’École du Dimanche d’une autre église. Quand elle me vit reprendre mon poids et avoir si bonne mine, elle voulut savoir en quoi consistait l’efficacité de la Science Chrétienne. Elle consulta une praticienne et fut guérie d’une maladie de cœur qui l’avait empêchée de conclure une assurance et d’un autre malaise physique qui durait depuis longtemps. Elle étudia ensuite sérieusement la Science Chrétienne et devint un membre actif dans une église filiale.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !