« L'Éternel est dans son saint temple: que toute la terre fasse silence devant lui » (Hab. 2:20). Pour moi, cet énoncé de la Bible est l'un des plus puissants. Souvent il m'aida à réduire au silence des conditions discordantes de la matière, par la compréhension du pouvoir de Dieu.
J'ai été élevée avec la Science Chrétienne et j'ai reçu de nombreuses bénédictions, mais je désire relater la guérison remarquable d'une complication de maladies. J'avais tellement maigri que je dus cesser mon travail, et mon employeur, en raison d'une assurance-maladie qu'il avait contractée pour ses employés, m'obligea à voir un docteur. Son diagnostic fut: une descente des reins, une tumeur, un cancer, la leucémie, la tuberculose des poumons, une maladie de cœur et un état nerveux causé par le retour d'âge.
Peu à peu chaque maladie fut guérie grâce à l'aide des praticiennes fidèles qui m'aidèrent à diverses périodes. Je n'ai jamais douté que la Science Chrétienne puisse répondre à chaque besoin. Je m'attachais au fait que Dieu est Tout et qu'il n'y a pas d'autre pouvoir. Des énoncés de Science et Santé, comme « l'exposé scientifique de l'être » (p. 468) et la définition de l'homme (pp. 475–477), furent maintenus dans la pensée et médités, ainsi que les Psaumes quatre-vingt-onze et vingt-trois.
Un soir mes souffrances étaient terribles, et je me demandais constamment combien de temps je devrais souffrir. Finalement une pensée angélique me vint (ibid., p. 243): « La Vérité, la Vie et l'Amour agissent en tant que loi d'annihilation contre tout ce qui leur est dissemblable, parce qu'ils ne proclament rien hormis Dieu. » Cette vérité me rassura, et quelques nuits plus tard une opération mentale s'établit. La tumeur et le cancer furent dissous et disparurent; je m'éveillai le lendemain matin en bonne santé et pus manger normalement. En l'espace de quatre mois, à la surprise de mes collègues, j'avais repris mon travail, guérie de toutes mes difficultés. Est-il surprenant que la Science Chrétienne me soit si chère et si importante ?
J'exprime toute ma gratitude envers les praticiennes qui m'ont aidée. Être membre de L'Église Mère est une bénédiction, le cours d'instruction un privilège qui ne peut être décrit. Je suis aussi reconnaissante et joyeuse d'enseigner à l'École du Dimanche. — Winnetka (Illinois), États-Unis.
