Même lorsque j'avais quinze ans, ce que les écoles et les églises enseignaient concernant Dieu me laissait sceptique. J'avais très peur du jour du jugement, et je priais souvent demandant à Dieu de me rappeler à Lui avant que ne vienne ce jour terrifiant. Cinq ans plus tard, d'une façon merveilleuse, je vins m'installer à New York. C'est là que je trouvai et que j'acceptai la Science Chrétienne. Peu de temps après, lorsque mon unique frère tomba au champ d'honneur pendant la première guerre mondiale, la notion de l'indestructibilité de l'homme fut une lumière qui me réconforta.
Mon mariage, par la suite, fut de courte durée. Cette expérience me fit prendre conscience du désir que j'avais de me rapprocher de Dieu, et ma soif des idéaux faillibles commença à m'abandonner. Pendant cette période, je fus guérie de maux de tête douloureux dont je souffrais depuis plusieurs années. Cédant à une impulsion subite, je résistai avec une telle force spirituelle au désir de me coucher, qu'à partir de ce moment je n'eus plus jamais de maux de tête.
Mon petit garçon fut guéri d'une hernie lorsque, faisant des efforts sincères, je compris que: « Il n'y a point de crainte dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte » (I Jean 4:18). La rougeole, les oreillons et des accès de fièvre auxquels il était sujet, retombèrent rapidement dans leur néant primitif. Grâce à l'action bienfaisante de la prière incessante, qui lui permit de triompher de la crainte, mon fils fut guidé, au cours des dernières années de la seconde guerre mondiale, et sauvé après avoir été grièvement blessé, et il revint sain et sauf à notre foyer.
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