En écrivant ce témoignage, je pense avec gratitude aux nombreux bienfaits reçus depuis trente-quatre ans grâce à l'étude de la Science Chrétienne. Quand j'entendis parler de cette Science, j'avais quitté depuis peu les Pays-Bas pour vivre aux États-Unis. A cette époque je pensais n'avoir pas besoin de la Science Chrétienne, mais je fus très heureuse de savoir qu'il existe une religion capable de guérir sans faire appel à la médecine ou aux docteurs.
Plus tard je fréquentais les cultes dans une Église du Christ, Scientiste. Ma première guérison concernait une pleurésie. J'étais encore très novice en Science Chrétienne, mais un praticien me traita dans un esprit de prière et me dit comment il faut étudier les Leçons- Sermons qu'indique le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne. Un jour la maladie parut si grave que mon mari ne voulut pas me quitter pour se rendre à ses affaires. Me tournant sans réserve vers Dieu, je priai de tout mon cœur. Ensuite je m'endormis. Quand je m'éveillai environ dix minutes plus tard, j'étais entièrement bien. Expliquant à mon mari cette guérison merveilleuse, je l'assurai qu'il pouvait se rendre à son travail car j'étais parfaitement remise. Ma gratitude était sans bornes. Je me sentais renouvelée. Nous avons eu depuis lors beaucoup d'autres guérisons. Les rhumes, les maladies prétendues infantiles, les maux de divers genres ont été guéris grâce à l'application de la Science Chrétienne.
Il y a quelque quatre ans le pouvoir guérisseur de Dieu nous fut prouvé à nouveau. J'allais en ville avec mon petit-fils, et je tenais le volant lorsque notre auto patina sur la glace, fit un tête à queue, heurta un arbre et se renversa. On constata par la suite qu'elle était hors d'usage. Quand je perdis la maîtrise de la voiture, je m'écriai: « Dieu, aide-moi! » Et Il le fit certainement. J'avais été projetée sur le siège arrière mais je pus tout de suite avancer le bras pour interrompre l'allumage. Mon petit-fils se mit à pleurer. Mais je lui dis que tout allait bien et il s'arrêta. Au moment même deux hommes vinrent nous aider à sortir de la voiture. Je les priai de nous ramener à la maison, ce qu'ils firent très volontiers.
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