L’une des premières guérisons que je vis se produire grâce à la Science Chrétienne m’impressionna beaucoup, et je ne l’ai jamais oubliée. Il s’agissait de notre bébé, qui était très malade.
Avant que je puisse me mettre en contact avec une praticienne, un membre de la famille appela le docteur. Celui-ci examina l’enfant et diagnostiqua une pneumonie. Sans prescrire aucun remède, il dit qu’il reviendrait plus tard. Une fois le docteur parti, je couchai l’enfant aussi bien que possible, puis j’allai dans une chambre où j’étais seule, afin de prier. La praticienne à qui j’avais voulu téléphoner était absente, mais je m’attendais à ce qu’elle me rappelle à son retour, et je ne fis pas d’autre démarche.
La situation était apparemment critique, et la crainte m’étreignait. A sa façon, la petite me suppliait de la prendre dans mes bras; je me dis que même sur le plan humain, une mère n’infligerait pas à son enfant des souffrances, et que Dieu, notre Père-Mère véritable, ne le fait pas davantage; que la nature de l’Amour exclut tout ce qui lui est dissemblable. Je vis que l’Amour divin est toutpuissant pour maintenir sa création. J’affirmai qu’il en est ainsi quel que soit l’aspect des choses. Bientôt j’eus un sentiment de paix et la conviction que l’Amour était présent.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !