Il y a plus de vingt-cinq ans, quand j'ouvris pour la premiére fois Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, et en considérai le titre, le mot « santé » me frappa; j'imaginai que les exercices physiques, les régimes et cœtera, étaient expliqués dans cet ouvrage. Ma surprise fut grande lorsque je découvris qu'il traitait de Dieu et de Ses enfants, au nombre desquels je devais me trouver. J'eus le bonheur d'apprendre par expérience que la compréhension spirituelle, le penser juste, une entière confiance en Dieu plutôt que dans les remèdes matériels, ont pour résultat la santé. Depuis lors, je n'ai pas eu d'autre médecin que la Science Chrétienne.
Ma première guérison concernait des rhumatismes chroniques qui remontaient à la première Guerre mondiale où j'avais fait partie de l'armée britannique. J'étais à moitié perclus et souffrais toujours davantage, surtout quand l'air était humide; mais le traitement de la Science Chrétienne me valut une guérison permanente.
Ayant quitté l'Angleterre pour me fixer aux États-Unis, j'eus beaucoup de peine à supporter les chaleurs estivales de New-York. Un certain jour j'en fus sérieusement incommodé. Avec peine, je me rendis jusqu'au bureau d'un praticien. Il me parla de Dieu, de Son amour et de Sa bonté; il me fit voir la vraie nature spirituelle de l'homme, enfant du Père céleste, n'ayant ni maux ni souffrances; il pria silencieusement, et environ vingt minutes plus tard je pus sortir de son bureau entièrement guéri. Ici encore la délivrance s'avéra permanente, car les grandes chaleurs ne m'ont plus jamais gêné.
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