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Les bienfaits qu’apporte la mise en pratique de la Science Chrétienne...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juin 1948


Les bienfaits qu’apporte la mise en pratique de la Science Chrétienne m’ont été prouvés bien des fois, financièrement, moralement et physiquement; en écrivant ce témoignage, j’éprouve donc une profonde gratitude concernant l’église, l’école du dimanche, les périodiques et tout ce qu’accomplit le mouvement Scientiste Chrétien. Chaque année j’apprécie et j’aime davantage Mary Baker Eddy et son livre, Science et Santé avec la Clef des Écritures; en même temps la Bible, la vie et les œuvres du Christ Jésus deviennent pour moi plus précieuses et plus pratiques. L’étude journalière de la Leçon-Sermon a pris une valeur inestimable, surtout depuis que je me rends compte que pour moi, cette étude doit trouver sa place tout au début de la journée; je suis donc sincèrement reconnaissante de la sagesse grâce à laquelle Mrs. Eddy put établir les Leçons-Sermons et nous donner le Manuel de l’Église.

J’étais âgée de douze ans environ lorsqu’on dit à mes parents que j’avais la danse de Saint-Guy. Les symptômes étaient si marqués que je ne pouvais plus même porter un verre d’eau à ma bouche sans le renverser. La marche était devenue une série de trébuchements et je me rappelle que bien des fois je pleurai. Comme je fréquentais depuis des années l’École du dimanche de la Science Chrétienne, ma famille eut recours à une praticienne consacrée. Au bout d’un mois j’avais retrouvé mon état normal et j’allai de nouveau à l’école, bien que les docteurs aient conseillé une absence d’au moins deux ans. Le mal n’est jamais revenu et il n’a pas laissé de traces.

Je ne sais pas comment j’aurais pu élever mes deux petits enfants sans l’aide de la Science et d’une praticienne. A l’âge de quatre ans, notre fillette eut la main prise dans l’essoreuse électrique; quand on accourut, son bras était entré dans l’appareil jusqu’à l’épaule. Nous ne fûmes pas tentés de l’examiner et nous nous empressâmes de le couvrir. Nous fîmes appel à une praticienne, puis chantâmes et lûmes des cantiques jusqu’à ce que l’enfant s’endormît. L’après-midi même, elle se rendit à une petite fête où elle avait été invitée et personne ne remarqua son bras; trois ou quatre jours plus tard les ecchymoses et l’endolorissement avaient disparu.

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