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L'étude de la Christian Science* m'a valu de grands bienfaits, et je sens...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 1947


L'étude de la Christian ScienceNom donné par Mary Baker Eddy à sa découverte. (Se prononce Kris'tienn Sa'ïennce.) La traduction littérale de ces deux mots serait Science Chrétienne. m'a valu de grands bienfaits, et je sens que mon témoignage de gratitude aurait dû être donné il y a longtemps.

Il y a seize ans, lorsque je commençai à gagner ma vie, je me tournai pour la première fois vers le Christ, la Vérité. J'étais loin de la maison, et quand les circonstances devinrent très pénibles, ma mère m'envoya Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Bien des fois, pendant que j'essayais de comprendre la portée de ce message et son application aux problèmes humains, l'angoisse m'arrachait des larmes. Je désirais saisir la vérité et j'eus un merveilleux exaucement, car on m'offrit une place dans ma ville natale, où je pouvais fréquenter les cultes et avoir avec des amis des entretiens salutaires. Appliquant les vérités qu'enseigne la Christian Science, j'appris à rester fidèle au travail que j'avais entrepris et à vaincre les difficultés. Au cours des années dernières, j'ai été surprise de toutes les choses que l'Entendement m'a permis de faire — choses qu'autrefois j'aurais jugées impossibles. La nervosité et le manque de confiance sont en voie de céder. En ces jours où il y a tant à faire, je suis reconnaissante de pouvoir, outre mon poste qui m'occupe toute la journée, diriger un ménage et participer au travail de l'église. Je constate que si je donne à Dieu la première place, les choses s'arrangent dans l'ordre voulu.

Les vérités de la Bible, comme nous les a révélées Mrs. Eddy, m'ont guérie de bien des choses: je n'ai plus besoin de porter des lunettes pour certains travaux minutieux; la surdité due à un amas de cire dans l'oreille, des cors et des douleurs aux pieds, la crainte du soleil ardent ont disparu. En ce qui concerne ce dernier problème, un témoignage donné le mercredi soir me fut utile. L'on avait cité cette définition de « soleil » donnée par Mrs. Eddy, à la page 595 de Science et Santé: « Le symbole de l'Ame gouvernant l'homme, — de la Vérité, de la Vie et de l'Amour, » en ajoutant qu'un pur symbole ne pouvait émettre une chaleur gênante ou des effets nuisibles. Je me rappelai cela la prochaine fois que je passai mes vacances en Suisse, et je n'eus plus besoin de porter un chapeau pour me protéger contre l'ardeur du soleil. J'appris en outre à jouir du soleil au lieu de le craindre comme précédemment. Une douloureuse éruption dont je souffrais chaque été aux mains et aux bras fut également guérie.

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