J'assiste quelquefois aux réunions de témoignages du mercredi soir avec ma mère, mais à cause de la distance, je ne puis pas toujours y aller. J'aime les témoignages que maman me lit dans The Christian Science Journal et la Christian Science Sentinel; et j'écris ces lignes pour que d'autres petits garçons puissent les lire.
Un après-midi, à la sortie de l'école, il faisait très chaud et je voulus aller me baigner. Avec plaisir, je nageais dans les bassins et faisais des plongeons. Ensuite je voulus piquer une tête en sautant de la planche la plus élevée, aussi haute qu'un poteau télégraphique; mais je touchai le fond. Je n'avais pas remarqué que des garçons avaient touché aux tuyaux, à l'autre bout du bassin, et que l'eau avait baissé de plus d'un mètre. Voilà pourquoi j'avais touché le fond. Quand je revins à la surface, tout était noir, mais au bout d'un moment je pus voir jour. Le surveillant voulait me conduire au poste de premiers secours, mais j'insistai pour aller à la maison. En route je rencontrai ma mère; nous sommes rentrés ensemble et avons su la vérité. Bientôt je m'endormis. Quand je me réveillai, j'allais bien. Toute l'erreur avait disparu et j'étais si heureux! Je mangeai un morceau et me sentis tout gaillard. Mais quand je m'éveillai le lendemain matin, la tête me tournait. Dans ma joie, j'avais oublié de faire mon travail de protection. Je m'adressai à une praticienne qui me traita. En très peu de temps le vertige disparut, de même que la bosse sur ma tête. Depuis lors je me porte bien.
Je suis reconnaissant au sujet de la Science Chrétienne et de Mrs. Eddy; je remercie le moniteur de l'école du dimanche, la chère praticienne et ma mère, qui m'ont aidé. — Abbotsford, Nouvelle-Galles du Sud, Australie.
Je suis très heureuse de confirmer le témoignage de mon jeune fils. Il avait dix-huit mois quand j'entendis parler de la Science Chrétienne, voici huit ans; dès lors nous n'avons ni l'un ni l'autre fait usage de médicaments ou été traités par un médecin.
Lorsque la Science Chrétienne me fut présentée, j'étais très malade. Il m'était difficile de marcher plus de quelques minutes. Je consultai un docteur qui me dit qu'une opération s'imposait. Il m'envoya chez un spécialiste qui confirma la chose, disant que l'opération devrait avoir lieu la semaine suivante. Le soir même, une amie me parla de la Science Chrétienne, m'assurant que je pouvais être guérie. Je me moquai d'abord de cette idée, mais craignant de ne pas survivre à l'opération, je consentis à voir une praticienne.
Le lendemain soir, la praticienne vint chez moi et resta à peu près une heure. Le matin suivant je me portais aussi bien qu'aujourd'hui, ayant dormi toute la nuit pour la première fois depuis près de deux ans. Je vaquai à mon travail sans me reposer une fois. Je passai la journée suivante vers le port, pour voir des régates. Il y avait foule, et je me tins debout presque tout l'après-midi. Le dimanche, mon amie me conduisit au culte de la Science Chrétienne. Le lundi à midi, j'allai voir la praticienne et restai une heure avec elle. Comme j'avais précédemment pris rendez-vous avec deux des premiers spécialistes, j'y allai à deux heures, comme c'était convenu. A ma grande joie ils me dirent que je me portais bien et qu'il n'y avait absolument pas lieu de m'opérer. Alors seulement, je me rendis compte que la guérison s'était accomplie le soir où la praticienne était venue chez nous.
Les bienfaits que mon enfant et moi-même devons à la Science Chrétienne sont trop nombreux pour être décrits. Avec l'aide dévouée de la praticienne, il fut instantanément guéri de la coqueluche, de la rougeole en trois jours, d'un sérieux refroidissement en une journée. A cette époque, la praticienne habitait à quelque cinq cents kilomètres de chez nous. Un matin je tombai du haut d'un escalier ayant environ trente marches, et je me meurtris gravement à la jambe gauche; un grand morceau de chair fut arraché de ma jambe droite, entre le genou et la cheville. En outre, une lésion à l'épine dorsale m'empêchait de m'asseoir. Bien que souffrant beaucoup, je refusai tout traitement médical. Le soir seulement nous pûmes nous mettre en communication avec la praticienne. Une heure après, je pus me servir du bras gauche et les douleurs au côté disparurent. Le lendemain matin, ma jambe gauche était normale et je pouvais m'asseoir. Mais la jambe droite était dans un triste état. Cependant la praticienne montra tant d'amour et de patience qu'en quelques semaines la blessure fut complètement guérie.
Je suis sincèrement reconnaissante envers Dieu de tout ce que la Science Chrétienne a fait pour moi et les miens, de la manière dont elle aide le monde entier. Mes perspectives étaient très sombres quand cette merveilleuse vérité apporta dans ma vie l'espoir et le bonheur. Envers Mary Baker Eddy, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne, qui ne cessa d'obéir à Dieu et put ainsi discerner la révélation de l'Entendement divin, ma gratitude est éternelle. Mainte et mainte fois j'ai trouvé dans ses ouvrages les exhortations, les directions et l'encouragement dont j'avais besoin au moment même.
Je suis sincèrement reconnaissante d'être membre de L'Église Mère et de travailler au sein d'une église filiale. Mon profond désir est d'être spirituellement préparée à servir humblement la Cause de la Science Chrétienne selon la voie tracée par Dieu, aidant mes semblables à reconnaître le bien auquel ont droit tous les enfants de Dieu. — Abbotsford, Nouvelle-Galles du Sud, Australie.