Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

Les Normes du Travail

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1945


A L'époque mémorable où s'établissait la Cause de la Science Chrétienne, les ouvriers n'étaient pas nombreux. Mais ils étaient infatigables. Beaucoup d'entre eux avaient été guéris et régénérés par la compréhension spirituelle de Mary Baker Eddy, notre bien-aimée Leader, Découvreuse et Fondatrice de la Science Chrétienne. Délivrés de la maladie, du triste esclavage qu'imposent les souffrances et le péché, ils renonçaient aux plaisirs mondains, quelquefois à la vie de famille, aux liens de l'amitié, et se consacraient sans réserve à leur tâche—l'établissement de cette religion à la fois ancienne et nouvelle fondée sur le Christ, la Vérité.

Comme autrefois, les humains ne surent ni juger ni comprendre ce deuxième avènement du Christ, annoncé par Jésus. L'opposition, les persécutions éclatèrent. Les sermons dirigés contre Mrs. Eddy, contre les adhérents de la Science Chrétienne et contre cette Science elle-même, n'étaient pas rares. Devant l'opposition des pasteurs, des médecins, des professeurs de sciences physiques, l'effort devait être courageux et non pas timide. Il fallait que ces premiers disciples fussent de bons soldats, toujours sur leurs gardes, unis, prêtant l'oreille aux commandements divins. Le travail se poursuivait sans relâche. Il y avait peu d'ouvriers, et l'œuvre qu'il fallait accomplir était immense. On devait faire connaître au monde cette admirable vérité qui guérit!

Notre Leader, Mrs. Eddy, reconnaissait la nécessité d'un effort soutenu, inlassable; aussi dit-elle aux Scientistes, dans son Message to The Mother Church for 1900 (p.2): ‰ « Voici le chant le chant la Science Chrétienne: "Travaille—travaille—travaille—veille et prie." » Elle ne mentionne aucun relâche; elle ne déclare pas que les uns doivent travailler pendant que les autres veillent. A la même page, elle ajoute: «L'observateur attentif remarque dans nos rangs trois types de la nature humaine: ceux qui pensent et agissent selon la justice, les oisifs, et ceux qui forment la catégorie intermédiaire. Le bon penseur travaille; il se préoccupe peu des choses ou des conventions mondaines, mais son exemple et ses labeurs profitent à la société. Il ne donne point de temps aux plaisirs, à la mollesse, à la frivolité; » puis elle fait voir une tendance absolument contraire: «L'oisif pervers gagne peu et se montre avare.» Enfin elle écrit: «Celui qui se rattache à la catégorie intermédiaire travaille par moments. Il dit: "Me réserver du temps pour moi-même, c'est mon devoir; je crois néanmoins qu'il est bon de travailler lorsque cela vous arrange."»

Connectez-vous pour accéder à cette page

Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !

Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / septembre 1945

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.