Voici la manière dont je fut amenée à m'intéresser à la Science Chrétienne.
Depuis des années d'éminents médecins me demandaient comme assistante lorsqu'ils opéraient à l'hôpital ou dans leur propre cabinet. Un jour se présenta à la consultation un homme ayant à la lèvre une vilaine plaie que les docteurs jugèrent cancéreuse. Ils firent tout ce qu'ils purent pour cet homme, mais il succomba. Ce cas me frappa beaucoup.
Bien des années plus tard, une plaie apparut sur ma lèvre. Je la soignai du mieux que je pus, me servant des remèdes que mon métier d'infirmière m'avaient fait connaître, et comme il ne se produisait aucune amélioration, je consultai un médecin. Après un an de soins, le docteur fit venir d'Europe un remède spécial qu'il appliqua en disant: « Si ceci ne vous guérit pas, je n'ai plus rien à proposer. » Lors d'une autre visite, il fit une remarque qui m'enleva mon dernier espoir. Pendant toute cette période l'image de l'homme que les médecins n'avaient pu guérir occupait ma pensée. Depuis lors la vérité de ce que déclare Mrs. Eddy m'a été prouvée d'une manière concluante (Science et Santé, p. 411): « Tout ce que l'entendement mortel nourrit comme étant l'état physique se projette sur le corps. »
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