Pleine du désir d'exprimer ma gratitude et de répandre la bonne nouvelle, je donne le présent témoignage.
Je m'adonnais à la morphine dont je prenais de six à neuf centigrammes par jour. Morphinomane depuis l'âge de dix-sept ans, je le restai vingt-trois ans, souffrant de tous les maux qui accompagnent cet esclavage. A plusieurs reprises j'essayai divers traitements sans résultat durable. « Une fois morphinomane, on le reste, » me disait-on.
Finalement je tombai malade. Je souffrais de colite purulente, d'une affection biliaire, de troubles hépatiques, de constipation chronique et d'un état nerveux très inquiétant. Je consultai plusieurs médecins, mais ils ne purent m'aider. A ce moment-là, alors que j'avais perdu l'espoir d'être secourue médicalement, une amie me demanda pourquoi je ne m'adressais pas à la Science Chrétienne. Dans ma détresse, j'abandonnai les lois humaines pour la loi de Dieu, et je découvris qu'en réalité la dégradation ne règne nulle part. Seule la création divine est vraie.
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