Je désire raconter comment la Science Chrétienne m'a guérie de la tuberculose.
On m'avait appris dès mon enfance à aimer les choses de Dieu, et je fréquentais régulièrement une église orthodoxe. Plus tard, dans mon propre foyer, j'eus de grands chagrins; or on m'avait enseigné que Dieu permettait ces afflictions. Mon fils cadet naquit pendant la guerre, alors que j'étais seule. Il devint la lumière de ma vie, car il remplissait une place qui paraissait vide. A l'âge de cinq ans, il tomba malade, et les docteurs ne me donnèrent aucun espoir. Lorsque l'enfant passa, je me promis solennellement de ne point prendre de repos jusqu'à ce que j'aie appris à connaître le Dieu qui peut guérir, qui guérit en effet, et ne laisse pas souffrir les petits enfants.
Avant la naissance de ce bébé, j'avais passé quelque temps dans un sanatorium où l'on soignait la tuberculose. Quand j'eus ce nouveau chagrin, la maladie reparut. Le docteur auquel je m'étais toujours adressé dans des cas pareils me dit que j'avais les poumons malades et devais me présenter au département de la santé publique, où le médecin confirma ce qu'avait dit son confrère. J'en fus heureuse, car j'étais fatiguée de la vie et pensais qu'en m'en allant je trouverais peut-être Dieu. J'avais essayé de tout et fréquenté bien des églises, mais sans aucun résultat.
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