Bien que je n'eusse pas entrepris l'étude de la Science Chrétienne pour obtenir un soulagement physique, j'ai été guérie de l'indigestion causée par une opération chirurgicale qui, selon le chirurgien, en nécessitait une seconde; de plus, des oreillons, la grippe, et des maux d'oreilles ont disparu, et une grande amélioration s'est manifestée dans certains traits de caractère. Dans ma famille bien des maux et des suites d'accidents ont été détruits, et pendant les sept dernières années, j'ai entièrement remis ma santé, mon bonheur et ma prospérité entre les mains de Dieu, à mesure que la Science Chrétienne m'a appris à Le connaître.
Je suis extrêmement reconnaissante du secours qu'a été pour moi la Science Chrétienne au sujet de nos enfants. Pendant longtemps je fus accablée d'anxiété à l'égard d'un de mes fils qui passait par l'adolescence, et j'étais remplie de crainte pour sa sécurité et son bien-être; mais à mesure que ma pensée s'élevait pour discerner la paternité et la maternité de Dieu, je pus mettre de côté ma fausse conception de maternité, et, comme Abraham, je vis que ce que je devais sacrifier c'était la fausse notion humaine de l'homme. Alors ma compréhension spirituelle que Dieu est Père et Mère détruisit toute crainte de devoir être témoin du sacrifice de mon fils en faveur du mal sous une forme quelconque. Cette compréhension m'a remplie de joie.
Un fils cadet, qui fréquente l'École du Dimanche de la Science Chrétienne, aprend à s'adresser à Dieu dans les moments de besoin. Le jour de Noël, une lourde automobile dans laquelle il était assis se mit à glisser sur une route verglacée et se dirigea du côté d'un profond vrain. Il sauta à terre, ferma la porte de l'auto et essaya de retenir celle-ci en répétant “l'exposé scientifique de l'être,” que l'on trouve à la page 468 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. En descendant, la voiture fit deux contours comme si elle avait été bien conduite, elle évita tous les arbres et s'arrêta au bas du ravin, à une profondeur de soixante-quinze pieds environ, sans qu'une seule vitre se fût cassée. On la remonta sans qu'elle subisse aucun dommage, en sachant que Dieu donne l'intelligence pour accomplir le travail. Un voisin lui ayant demandé ce qu'il avait fait, le gamin répondit: “J'ai fait tout ce que j'ai pu, et puis j'ai laissé à Dieu le soin de l'auto.”
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