La Science Chrétienne nous vient en aide de tant de façons différentes, qu'il est difficile de savoir par quoi il faut commencer pour énumérer les nombreux bienfaits reçus. Il y a dix ans que je fus guérie instantanément d'une pénible maladie; et depuis lors, il ne s'est pas passé un seul jour sans qu'il y ait eu quelque preuve de la puissance curative de la Vérité. J'ai été guérie de l'influenza, de rhumes, de maux de tête, d'une indigestion aiguë, d'un eczéma goutteux, de brûlures et de la crainte des accidents. Je suis extrêmement reconnaissante de ces guérisons. Après avoir été maladive durant des années, cela me paraît merveilleux d'être débarrassée de la crainte concernant le climat, la nourriture ou le surmenage.
Je suis aussi profondément reconnaissante de l'aide pratique de la Science Chrétienne dans les affaires journalières. Percevoir qu'il n'y a qu'un Entendement, Dieu, c'est résoudre promptement la plupart des désaccords de la vie de famille. Dernièrement, j'en ai justement eu une preuve frappante. Nous étions obligés de changer de demeure. Pendant longtemps il sembla impossible d'en trouver une qui contentât tous les membres de la famille. Finalement, je commençai à voir que c'était une croyance à la propre volonté qui causait l'empêchement. Il fallait surmonter cela; et, grâce au sentiment intime que toutes les pensées de Dieu sont à leur place et que cette place est parfaite, nous trouvâmes subitement une maison qui, ainsi que nous le constatons, est une demeure confortable où règne le bonheur.
J'ai la conviction que la Science Chrétienne est applicable à tous les problèmes,— mentaux, moraux et physiques. Lorsque la démonstration a paru se faire lentement, j'ai toujours trouvé qu'il y avait de ma faute; que quelque sens erroné m'empêchait de saisir l'idée juste. Ainsi que le dit Mrs. Eddy à la page 242 de Science et Santé avec la Clef des Écritures: “En obéissant patiemment à un Dieu patient, travaillons à dissoudre avec le dissolvant universel de l'Amour, le diamant de l'erreur,— la propre volonté, la propre justification et l'amour de soi,— ce diamant de l'erreur qui lutte contre la spiritualité et qui est la loi du péché et de la mort.”
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