
Editoriaux
Aujourd’hui, plus que jamais auparavant peut-être, certains de ceux qui s’intéressent sérieusement à la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) cherchent à améliorer leur aptitude à démontrer qu’elle guérit. Tous nous aimerions avoir des témoignages convaincants à ajouter aux preuves déjà abondantes qu’effectivement la prière guérit.
Nous pouvons fort bien démontrer aujourd'hui tout comme Jésus que l'erreur n'a d'autre choix que de céder à la Vérité, Dieu, et à Son Christ. Dans la mesure de notre croissance spirituelle, nous connaissons de façon tangible, visible, le pouvoir de Dieu et l'autorité de l'homme.
Le chemin que Christ Jésus nous a révélé exige l'abnégation de soi. Et cette abnégation de soi est synonyme de sacrifice du moi: abandon de toutes les croyances que l'homme est un mortel, qu'il est une entité matérielle indépendante, un ego pénétré de sa propre importance.
Les Scientistes Chrétiens parlent souvent de Mary Baker Eddy comme de leur Leader. Il est normal que ce titre suscite la curiosité, et donc intéressant de se demander pourquoi ce leadership existe, ce qu'il recouvre et comment il s'exerce.
(Cet article est le second de deux éditoriaux qui se proposent de faire le point sur les défis fondamentaux qui se posent à l’humanité dans une société à haute technicité. Le premier article, qui a paru le mois dernier, était intitulé « Pas d’homme mécanisé ».
L’Église du Christ, Scientiste, soutient la norme de la guérison chrétienne primitive par les preuves effectives de guérison que ses membres obtiennent uniquement grâce à des moyens spirituels. C’est pourquoi on se demande parfois si un membre de L’Église Mère qui choisit de recourir à des moyens matériels pour se guérir fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de l’Église.
Au puits de Jacob, Christ Jésus, en quelques mots d’une merveilleuse simplicité, a beaucoup appris à la Samaritaine sur la compréhension de la Vérité, Dieu. Il lui a très clairement montré que cette compréhension constitue un pouvoir vivant, un facteur infaillible de renouvellement, un levain qui jaillit dans la vie comme une source d’eau vive.
Deux définitions du mot « désir » données dans Science et Santé de Mary Baker Eddy peuvent nous faire réfléchir. La première dit: « Le désir, c'est la prière; et nous ne pouvons rien perdre en confiant nos désirs à Dieu, afin qu'ils soient façonnés et élevés avant de prendre forme en paroles et en actions.
( Cet article est le premier de deux éditoriaux qui se proposent de faire le point sur les défis fondamentaux qui se posent à l'humanité dans une société à haute technicité. Le second article, qui paraîtra le mois prochain, est intitulé: « Usure programmée ou être éternel ? » ) Il y a quelques mois, une revue américaine a consacré un dossier spécial aux ordinateurs sous ce titre: « L'homme et la machine: le merveilleux amalgame ».
Lorsque nous avons été guéris et que nous avons reçu d'autres bienfaits de la Science Chrétienne Christian Science (´kristienn ´saïennce) , il est naturel que nous soyons profondément reconnaissants pour ce don magnifique. Mais même si la liste de nos bénédictions est longue, nous pouvons bien nous demander si nous saisissons réellement les aspects fondamentaux et les applications plus vastes de la vérité que cette Science révèle.