Editoriaux
Un important message de la Bible est que la pensée spiritualisée a pour effet la guérison et le salut. Celui qui cherche sincèrement la Vérité trouve dans la Bible le fondement sur lequel repose le maintien de la santé permanente du corps et de l’esprit par la spiritualisation de la conscience.
A celui qui est las de la vie, et même tenté de se suicider, la Science Chrétienne redonne courage et apporte la solution de ses problèmes. Si désemparé que l'on se sente, il existe une issue à cette situation.
Aux époques d'agitation et d'instabilité dans les rapports humains, lorsqu'on lit tant de choses sur les foyers brisés et les malentendus entre la jeune génération et ses aînés, ces paroles de la Bible prennent une signification spéciale: « Seigneur ! tu as été pour nous un refuge, de génération en génération. » Ps.
Le fait central des enseignements de Christ Jésus était que Dieu est Amour et que celui qui vit comme l'enfant de Dieu aime sans égoïsme — aussi bien qu'éternellement. C'est ce fait central que les mortels entrevoient, qu'ils trouvent riche d'inspiration et qu'ils trouvent promptement moyen d'éluder.
Pour Christ Jésus le royaume de Dieu, le royaume de tout bien, était toujours nettement présent, et en l'homme, l'émanation de Dieu, était inclus ce royaume. C'était là une conséquence naturelle de sa conviction de l'indiscutable totalité de Dieu.
Le monde a un désir ardent du Consolateur, « l'Esprit de vérité », dont Christ Jésus a prophétisé qu'il viendrait et nous conduirait dans toute la vérité. Voir Jean 16:13; L'humanité dans son ensemble n'a pas conscience de la nature de ce désir.
Il est utile de connaître les faits d'une situation, car nous pouvons ainsi écarter les concepts illusoires qui autrement pourraient égarer la pensée. Mary Baker Eddy écrit dans Science et Santé avec la Clef des Écritures: « Pour bien raisonner on ne devrait envisager qu'un seul fait, savoir, l'existence spirituelle.
Les gens rêvent parfois, tout éveillés, au plaisir qu'ils auraient à posséder beaucoup d'argent. Peut-être pensent-ils aux jeunes de la famille que quelque argent arrangerait bien, aux finances de l'église qui ont besoin d'être soutenues, à l'amie qui, face à la vie chère, a de la peine à joindre les deux bouts avec sa pension.
La parabole du Maître dite du bon Samaritain, narrée au dixième chapitre de l'Évangile de Luc, nous enseigne bien des leçons utiles. Habituellement, nous pensons au bon Samaritain comme s'occupant avec amour des besoins de son prochain qui avait connu une si malheureuse aventure sur la route de Jérusalem à Jéricho.
Élever ses enfants comme il faut, comme ce serait facile s'il s'agissait simplement d'appliquer une stricte discipline par opposition à une tolérance exagérée ! Mais il ne faut pas chercher bien loin pour trouver des familles où les jeunes, malgré des règles de vie justes imposées, se sont écartés du bon chemin. Si vous en demandez la raison à l'un d'entre eux, il vous dira qu'il cherche ailleurs ce qu'il ne trouve pas chez lui.