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Rapidement guéri de brûlures

Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 8 janvier 2024


A l’époque où j’étais étudiant, de retour à la maison pour les vacances de Noël un dimanche matin, j’ai décidé de préparer du thé. Notre famille venait d’emménager dans une nouvelle maison et la cuisine ne m’était pas familière. Elle avait une forme inhabituelle avec de nombreux angles, et aussi une plaque de cuisson étrangement orientée.

J’ai posé la bouilloire sur la cuisinière électrique et j’ai allumé la plaque à forte puissance. Après un certain temps, j’ai remarqué que l’eau ne bouillait pas. J’ai tendu le bras au-dessus du plan de travail pour soulever la bouilloire et, pour me maintenir en équilibre, j’ai appuyé fermement ma main gauche sur l’un des autres brûleurs, pensant qu’il était éteint. A tort. J’avais allumé celui-ci par erreur et il était rouge vif.

La douleur que j’ai ressentie a été instantanée et extrême. J’ai crié fort, mais ma sœur (la seule autre personne à la maison à ce moment-là) était sous la douche et ne m’a pas entendu. Cependant, tout aussi instantanément, je me suis tourné vers Dieu.

J’avais très peur, mais j’ai réussi à déclarer haut et fort « l’exposé scientifique de l’être » que l’on trouve dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy (voir p. 468). Cet énoncé affirme la totalité de Dieu, l’Esprit, et la nature inintelligente et irréelle de la matière. Je me suis accroché à chaque syllabe.

J’étais désormais assis sur un tabouret de cuisine, tenant ma main contre mes genoux, refusant de la regarder et déclarant encore que je ne pouvais refléter que Dieu, l’Esprit divin, et que je n’avais pas besoin de regarder ma main pour voir si c’était vrai. Je savais aussi que j’étais le reflet de l’Entendement divin, Dieu, et que ce reflet est parfait. Je l’ai affirmé catégoriquement, avec conviction.

Mais je me suis aussi vu en train de dialoguer avec des pensées telles que : « Waouh, je parie qu’il y aura d’horribles cloques. » A cette pensée, j’ai opposé celle-ci : « Non, je suis l’enfant parfait de Dieu et je n’accepterai aucun diagnostic ni aucune prophétie opposés ! » Puis une autre pensée est venue : « Eh bien, ça va prendre beaucoup de temps à guérir. » Et encore une fois, j’ai répondu : « Non. Je ne suis jamais séparé de Dieu, et je suis le reflet infini de la perfection divine ! L’Entendement divin ne connaît pas le temps, il connaît seulement le maintenant. »

Après environ dix minutes passées à affirmer avec force la vérité, j’ai senti une vague de paix m’envahir, et je savais absolument que tout allait bien. Même si ma main était légèrement rouge, il n’y avait aucune blessure visible.

A ce moment-là, ma sœur est entrée dans la cuisine et j’ai partagé joyeusement avec elle ce qui venait de se passer et le fait que ma main allait bien. En fait, lorsque nous sommes rentrés de l’église plus tard dans la journée, il n’y avait aucune trace de brûlure sur ma main.

Ensuite, en février, de retour à l’université, j’ai fait du recâblage électrique en tant qu’ingénieur en chef de la station de radio universitaire. Un camarade m’a aidé. Cette tâche m’a obligé à utiliser un fer à souder de type « crayon » très chaud, autour de 350 degrés.

J’avais posé le fer à souder sur le bord d’un meuble pendant que je préparais quelques connexions à souder. J’ai soudainement entendu un bruit et le fer a roulé du bord du meuble. Instinctivement, tendant la main pour l’attraper, je l’ai accidentellement attrapé par l’extrémité chaude et j’ai crié.

Mon ami m’a appelé pour me demander si j’allais bien. Je lui ai répondu calmement que j’avais besoin d’un moment. Je voulais prier tranquillement et affirmer ce que je savais être vrai à propos de la sollicitude et de la suprématie de Dieu.

J’ai pensé : « Père, j’ai déjà résolu ce problème. J’ai démontré que la Vérité est vraie et puissante, et je n’accepterai pas la peur associée au fait d’être brûlé. » Je l’ai affirmé tranquillement, de manière définitive et sans crainte et, moins d’une minute après, j’ai dit à mon ami : « Je vais bien. Continuons de travailler. » En effet, j’allais bien et je n’avais aucune trace de brûlure ou d’ampoule sur ma main. Cette leçon et cette démonstration de guérison rapide ont été répétées à d’autres moments dans ma vie.

Par exemple, plus récemment, après avoir réchauffé du thé dans une tasse au micro-ondes, je l’ai renversée, car la poignée était extrêmement chaude. (Apparemment, la tasse n’allait pas au micro-ondes.) J’ai aperçu ma main brièvement et il y avait des ampoules sur au moins deux de mes doigts. J’ai rapidement détourné le regard et j’ai prié, affirmant la vérité spirituelle me concernant.

Cette fois-ci, une des impostures était : « Et si, les fois précédentes, les brûlures n’étaient en fait pas vraiment graves, et les guérisons pas vraiment des guérisons ? » Avec un « Non » retentissant, j’ai rejeté le mensonge selon lequel il ne s’agissait pas de guérisons manifestes.

En quelques minutes, j’étais à nouveau en paix et je ne ressentais plus aucune douleur. J’ai nettoyé le désordre et j’ai préparé une nouvelle tasse de thé dans une autre tasse. Ce n’est que le lendemain que je me suis rappelé avoir vu des ampoules sur mes doigts, et cette fois, quand j’ai regardé, il n’y avait rien.

Ce que je retiens de ces expériences, c’est qu’une fois que nous démontrons notre domination sur la matière ou erreur (une fausse affirmation selon laquelle quelque chose d’autre que Dieu gouverne), nous n’avons plus besoin de la craindre. De la même manière, une fois que nous avons compris pourquoi 4 × 4 = 16, il n’est pas difficile de se souvenir de ce concept ; nous le connaissons toujours.

En allant plus loin, une « brûlure » n’est pas plus réelle que tout ce que l’expérience mortelle peut nous infliger. Une fois que nous avons surmonté une croyance grâce à la Science Chrétienne, nous sommes en mesure d’appliquer la compréhension que nous avons acquise à n’importe quel défi auquel nous sommes confrontés, qu’il s’agisse d’un besoin physique, d’une relation, d’une carrière professionnelle, de ressources financières, de n’importe quoi.

Je continue d’apprendre. Et je suppose que c’est la raison pour laquelle ceux qui étudient la Science Chrétienne se considèrent comme des « étudiants ». Je suis très reconnaissant pour cette vie pleine de joie et de gratitude.

Rob Hummel
Laguna Beach, Californie, Etats-Unis

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