Il y a quelques années, j’ai rendu visite à des amis, dans l’Etat de New York, qui se trouve à quelques heures de route de chez moi. Quand je suis arrivée, j’ai décidé de faire une petite promenade, car c’était un bel après-midi d’été. En revenant vers la maison, sur une route de campagne isolée, un gros chien a sauté par-dessus une clôture et m’a sévèrement mordu à la fesse. (J’avais l’impression d’être un personnage de bande dessinée !)
Les propriétaires du chien sont sortis rapidement de chez eux et, à ma grande surprise (et à la leur), je me suis vue leur dire avec assurance : « Je vais bien. » Ils ont été soulagés de ne pas avoir à régler ce problème, et j’ai continué sur le chemin de terre, un peu secouée.
La première chose qui m’est venue à l’esprit a été de traiter par la prière les pensées qui venaient à moi au sujet du chien, dont la race est connue pour son comportement erratique et parfois agressif. Je suis une amoureuse des animaux, il m’a donc été facile d’abandonner ce concept du chien et d’accepter à la place cette déclaration de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy : « Toutes les créatures de Dieu, se mouvant dans l’harmonie de la Science, sont inoffensives, utiles, indestructibles. » (p. 514)
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