Une nuit, l’automne dernier, je me suis sentie extrêmement mal, et je me suis vite rendu compte que j’avais de nombreux symptômes associés à la Covid-19. Mais comme j’avais appris en Science Chrétienne à prier pour comprendre que j’étais le reflet de Dieu, le bien, je savais que je n’avais pas à avoir peur. Les symptômes ne présentaient pas la vérité concernant mon identité d’enfant spirituelle de Dieu.
Si la maladie était le problème le plus évident auquel j’étais confrontée, d’autres guérisons étaient nécessaires dans ma vie. Le chien qui m’avait accompagnée durant toute mon enfance, et qui faisait partie de la famille depuis 18 ans, venait juste de mourir. Et puis quelques semaines plus tard, ma grand-mère est décédée de façon soudaine. Je luttais également contre un état dépressif, et j’avais parfois des idées noires. Je priais au sujet de ces situations, mais les symptômes de la Covid m’ont donné le sentiment d’avoir touché le fond, faisant resurgir le chagrin et le désespoir et d’autres sombres pensées.
J’ai appelé une praticienne de la Science Chrétienne pour qu’elle me donne un traitement par la prière. Elle a partagé de nombreuses idées utiles qui m’ont apaisée pour la première fois depuis longtemps. J’ai trouvé particulièrement réconfortants ces vers tirés du « Cantique de communion », poème de Mary Baker Eddy : « Trouve un refuge en l’Amour ! Seul il peut sécher tes pleurs… » (Ecrits divers 1883-1896, p. 399) La praticienne m’a expliqué que l’Amour, autre nom pour désigner Dieu, non seulement séchait tous mes pleurs, mais éliminait également tous les symptômes de maladie, ainsi que la frustration, la peur, le chagrin et la confusion. Nous avons prié pour comprendre que l’Amour comblait tous les vides apparents et que je n’avais pas à craindre la contagion, ni pour moi ni pour qui que ce soit d’autre.
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