S’il vous est déjà arrivé de lutter contre un trait de caractère négatif, vous savez combien cela peut être monstrueux. Pour preuve, Shakespeare a dépeint la jalousie sous la forme d’un monstre à l’œil vert. J’en ai été la prisonnière malheureuse jusqu’à ce que la Science Chrétienne m’en délivre.
Il faut parfois travailler dur pour ne plus croire qu’un défaut de caractère fait partie de soi. La cupidité, l’envie, la haine et l’orgueil sont si répandus chez les individus et les peuples qu’on parle de nature humaine. Mais le mal fait-il vraiment partie de notre nature ? Que dire alors de la générosité de voisins qui s’entraident, ou des gens qui font des sacrifices pour une cause, des décisions qui guident les individus ou les nations à faire ce qui est juste ? De tels actes soulignent la présence sous-jacente d’une bonté motivante. Comme l’explique la Science Chrétienne, ce bien puissant est Dieu, l’Ame de tout ce qui existe réellement.
Peut-être est-on prêt à admettre que Dieu est le bien, mais qu’en est-il de soi ? Nous ne sommes pas Dieu, bien sûr, mais la bonté de Dieu doit forcément s’exprimer. Cette expression est l’homme. « Homme » est en Science Chrétienne le terme générique pour la véritable identité, spirituelle, de chacun, homme, femme et enfant. On a peut-être l’habitude de penser que l’homme est un mortel à la fois bon et mauvais mais, bien compris, l’homme spirituel est la pleine expression de Dieu, l’Esprit. Cela demeure vrai, même si un concept mortel de soi et des autres tente souvent de nous le faire oublier.
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