Avant de commencer à étudier la Science Chrétienne, j’ai eu pendant plusieurs années, fréquemment, de la fièvre et d’autres symptômes grippaux qui m’assommaient pendant plusieurs jours. La situation a été une fois si grave qu’en désespoir de cause je suis allée aux urgences. Souvent, j’étais incapable d’aller travailler ou de respecter mes engagements.
Après avoir commencé l’étude de la Science Chrétienne, ces manifestations sont devenues moins fréquentes, mais elles n’avaient pas complètement cessé. Je venais d’être victime d’une nouvelle crise lorsqu’un membre de mon église filiale de l’Eglise du Christ, Scientiste, a appelé pour savoir si j’étais partante pour faire un petit tour à l’église ce soir-là. Nous étions toutes les deux chargées de surveiller les activités qui se déroulaient aux abords de l’église en dehors des heures d’ouverture. Je lui ai dit que je ne me sentais pas bien, et que je venais de vomir sur ma couette. Spontanément, elle m’a gentiment proposé de venir me chercher et de laver la couette chez elle, car elle habitait près de chez moi. Elle m’a dit que l’on pouvait rester ensemble ou que je pouvais me reposer en attendant que la couette soit nettoyée. J’étais très reconnaissante !
Nous nous sommes assises dans son salon et nous avons discuté pendant que la couette était dans la machine à laver. Je ne lui ai pas demandé de traitement par la Science Chrétienne, et elle ne me l’a pas proposé non plus, mais nous avons discuté, en tant que membres d’église, de sujets qui concernent le bien-être en général, certains suscitant la polémique. Par exemple, récemment nous avions toutes les deux écouté un podcast sur les problèmes de la police, et j’ai été frappée par la façon dont elle en parlait. Elle considérait chaque question avec une attention et une curiosité sincère, persuadée qu’il existait une réponse spécifique à chaque besoin et à chaque problème. J’ai réalisé avec joie que cette conversation n’exclurait personne, y compris notamment un autre membre de l’église dont j’avais craint que les opinions contraires et même blessantes aient pu heurter, me semblait-il, la sensibilité de mon amie.
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