En début d’année, avant que le virus ne fasse son apparition en Grande-Bretagne, l’activité de mon entreprise de photographie était inhabituellement calme. L’entreprise avait atteint ses six ans d’existence au début du mois d’avril et je savais par expérience que les mois d’hiver sont souvent calmes, mais j’avais eu encore moins de commandes que d’habitude en février et mars.
Au fil des semaines, je suis devenu de plus en plus anxieux. Outre l’impact financier, cette situation m’a donné le sentiment que personne ne s’intéressait plus à mon activité ou n’avait besoin de mes services. Sous le poids de ce fardeau mental insidieux, j’ai remis en question l’utilité même de cette entreprise dont le développement m’avait coûté tant d’effort et de temps.
Pendant cette période, le seul moyen que j’ai trouvé pour m’apaiser face à toute cette situation a été d’élever les concepts de l’offre et de la demande, l’une et l’autre étant en fin de compte de nature spirituelle. Je savais qu’en tant qu’idée spirituelle de Dieu, je n’ai d’autre travail que d’exprimer Dieu et d’utiliser les talents qu’Il m’a donnés pour faire du bien aux autres. Je savais aussi que les ressources sont un aspect naturel de cette expression.
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