« Bip ! Bip ! » C’est le signal ! A califourchon sur une roquette, Vil Coyote se lance à la poursuite de Bip Bip… pour aller s’écraser quelques secondes plus tard contre la paroi d’une formation rocheuse. Une fois de plus !
Les fans de Chuck Jones dans le monde entier auront reconnu Vil Coyote, ce personnage qui multiplie les échecs, pour chaque fois rebondir dans la scène suivante. Cette image suscite une réflexion utile (et peut-être un sourire) dans le contexte actuel. Jones écrit : « Rien n’est jamais inévitable tant que subsiste la volonté de réfléchir. » (chuckjones.com) On pourrait alors se poser la question : le mal, les fléaux, la maladie seront-ils inévitables si nous sommes prêts à réfléchir… et à prier ?
Ces temps-ci, les débats publics et la présentation de cartes de pics de crise, de maladie et de mortalité vont crescendo, renforçant une idée largement répandue : le pire est à venir, et il n’y a pas grand-chose, sinon rien, que nous puissions y faire. Mais pourquoi au contraire ne pas voir dans tout cela une incitation à approfondir notre engagement vis-à-vis d’une prière réfléchie ?
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