2020

Il n’est jamais trop tard pour détruire la crainte, ou toute image de discorde ou de maladie, grâce au pouvoir de l’Amour.

La vérité de l’être, établissant que Dieu nous a tous créés spirituels et non matériels, et qu’Il nous maintient ainsi, est une arme que nous pouvons utiliser pour détruire toute suggestion de blessure physique.

Le Christ est la présence et la puissance de Dieu, la gloire et la manifestation de Dieu, qui nous réconforte et nous guérit tout au long de notre cheminement vers l’Esprit. 

Jean le Baptiste a décrit le Christ comme « la véritable lumière, qui éclaire tout homme venant dans le monde ». (Jean 1:9) Cet énoncé revêt une importance pratique pour le monde d’aujourd’hui. 

Même en période de trouble et d’inquiétude – d’ailleurs, surtout en ces périodes – le Christ dispense le calme sacré qui dissout les tensions et le stress, les fardeaux et la douleur. 

Dieu est la source suprême de tous les soins dispensés, d’où émane un amour abondant à la fois pour les patients et pour les aidants. En s’appuyant sur sa source divine, l’auteure a découvert une nouvelle approche pour prodiguer des soins qui avaient, auparavant, été source de frustration.

Tout au long de la saison de Noël, et même après, nous pouvons chérir le cadeau suprême qui ne cesse de nous être offert : le Christ. Ainsi que l’auteure en a fait l’expérience, se réjouir des vérités de l’être qui émanent du Christ a des effets très concrets.

Lorsque nous ne pouvons pas être physiquement présents et disponibles pour aider nos proches, nous pouvons les confier aux soins de l’Amour divin, sachant que c’est Dieu qui a toujours pris réellement soin d’eux.

En considérant d’un point de vue spirituel ce qu’offre Noël, cette famille a réalisé que si les cadeaux ont du prix, ce n’est pas parce qu’ils sont coûteux, mais parce qu’ils expriment les qualités spirituelles de Dieu. Et les qualités de Dieu sont toujours abondantes.

Nous pouvons affronter le caractère inévitable de tout mal – ce qui inclut les épidémies et leurs effets sur l’activité économique et la vie privée – de la même façon que l’auteur a affronté le caractère en apparence inévitable du crime dans la vie urbaine.