Les souvenirs que je garde des Noëls de mon enfance, en Angleterre, sont remplis de lumières scintillantes, de chants mélodieux, de bonhommes de neige et de cadeaux merveilleusement emballés et placés sous un arbre magnifiquement décoré. Une fois adulte, j’ai découvert en vivant au Nigéria que la période de Noël était aussi un moment de fête très animé, et de bonne volonté envers les autres, ce qui inclut le fait de voir des parents que l’on aime et de chanter des cantiques inspirants. Tout au long de cette saison, le message de Noël qui est si joliment inscrit dans la Sainte Bible résonne depuis les chaires des églises et les pièces de théâtre que l’on joue dans les écoles, jusqu’aux articles de presse.
Mais, pour certains, Noël ne signifie pas de bons gâteaux posés sur un plat, comme le décrit le chant de Noël provençal. Pour ceux dont les jours heureux ne sont plus qu’un souvenir, c’est un regard mélancolique qui risque d’assombrir leur visage ; ceux qui sont en bute à la maladie peuvent éprouver de la crainte.
Cependant, au-delà de la commémoration de la naissance de Jésus, Noël commémore le message universel et pratique du Christ incorporel, la manifestation de l’Amour qui guérit, que Jésus exemplifia et dont il déclara qu’il était antérieur à Abraham. (voir Jean 8:58) Ce Christ qui guérit ne peut-il pas venir en aide aujourd’hui à ceux qui luttent contre le chagrin ou la maladie ?
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