Quand on aura dépassé la croyance que l’homme est séparé de l’Ame, on connaîtra enfin la satisfaction véritable.
Mais tant qu’on acceptera la croyance que l’homme est une entité biologique et psychologique gouvernée, du moins en partie, par des pulsions et des impulsions, des désirs ardents et des envies irrésistibles, on cherchera toujours le moyen de combler un sentiment de vide.
Puisque Dieu est l’Ame, Il est la source d’épanouissement de toute la création. Comme l’Ame est universelle, à aucun moment ni en aucune circonstance on ne peut ignorer sa présence satisfaisante ni manquer de la ressentir. L’Ame aimant sa création, elle lui apporte – plutôt qu’elle ne lui retire – la bonté épanouissante et satisfaisante qui bénit chaque idée. Le Psalmiste entrevit cette vérité qu’il exprima merveilleusement bien : « Tu ouvres ta main, et tu rassasies à souhait tout ce qui a vie. » (psaume 145:16)
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