Les ordres et les directives sont souvent d’utiles mises en garde contre ce qu’il ne faut pas faire : Ne brûlez pas les feux rouges ! Ne mets pas ta main sur une plaque électrique brûlante ! « Dites Non-Non ! à la drogue », etc. Dans le Manuel de L’Eglise Mère, Mary Baker Eddy a écrit une « Règle pour les mobiles et les actes » dont la dernière phrase est une mise en garde contre toute une série de choses à ne pas faire de manière incorrecte : « Les membres de cette Eglise doivent journellement veiller et prier pour être délivrés de tout mal, pour ne pas prophétiser, juger, condamner, conseiller, influencer ou être influencés d’une manière erronée. » (p. 40)
Ces termes me sont familiers depuis longtemps. Désirant être obéissant, je les ai relus souvent. Un jour, cependant, je me suis rendu compte que, dans la pratique, j’étais loin d’être vraiment obéissant. Non seulement je ne pensais pas à cette règle tous les jours, mais je n’y obéissais pas vraiment. Après tout, on peut lire la même recette de cuisine toute la journée, la connaître par cœur, la répéter sans cesse, mais le gâteau ne se fera pas tout seul. Il faut mettre en application les instructions, sinon il n’y a aucun résultat.
Comment être plus vigilant et mieux prier pour être délivré du risque de faire toutes ces choses d’une manière erronée ? En m’appliquant à écouter la réponse de l’Entendement divin, je me suis très vite souvenu que, dans mon enfance, lorsque j’apprenais les mathématiques, je voulais arriver à ne plus additionner, soustraire, multiplier et diviser de façon erronée. Et comment y étais-je parvenu ? En pratiquant sans cesse la bonne méthode. Et plus j’apprenais à additionner et à multiplier correctement, moins je faisais d’erreurs dans mes exercices.
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