En 1950, la population mondiale comptait deux milliards et demi d’habitants. Aujourd’hui, nous sommes presque sept milliards et nous serons neuf milliards en 2050, selon les estimations. Chaque jour, au moins un milliard de personnes souffre de la faim car il n’y a pas assez d’eau pour l’exploitation agricole. En l’an 2000, environ cinq cents millions d’individus (donc, plus de 5% de la population mondiale) vivaient dans des régions qui connaissent une sècheresse endémique. D’ici 2050, on estime que 45% de la population vivra dans ces régions.
Aussi tentant soit-il d’évaluer d’abord les ressources en eau, face à cette demande toujours plus grande, puis de s’effrayer ou de se sentir découragé à la vue du résultat, c’est en abordant ce problème d’un point de vue spirituel qu’on parviendra à améliorer la situation et à aider davantage de personnes.
À la base des ressources en eau se trouve un concept spirituel gouverné par la totalité et la bonté de Dieu. Comme le relate la Bible, Jésus illustra ce point lorsqu’il s’arrêta pour se reposer près du puits de Jacob, dans la ville de Sychar, en Samarie, avant de se rendre en Galilée (voir Jean 4:5-14). Il demanda à une Samaritaine venue puiser de l’eau de lui donner à boire. «Pourquoi me demandes-tu cela? Tu es Juif, et tu sais bien que les Samaritains et les Juifs s’interdisent d’avoir la moindre relation», lui répondit-elle en substance.
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