Quelle aventure extraordinaire que d’avoir des aperçus spirituels de la féminité rayonnante de Dieu, qui révèle «l’idéal le plus élevé de l’Amour»! N’est-ce pas merveilleux qu’aucun de nous – homme ou femme – ne soit défini par le type de mentalité qui caractérise Ève et qui nous est montré dans le deuxième chapitre de la Genèse, dans la Bible?
Ève n’est pas seulement une femme: elle représente un état de pensée qui est vulnérable aux suggestions du «serpent», qui dit que nous pouvons être incomplets et séparés de Dieu, le seul Entendement. Cet état mental, qui manque de sagesse divine, croit naïvement ce qu’il voit au travers des sens matériels, et se conforte dans la promesse du serpent, qui nous assure que nous obtenons la sagesse en croyant que tout ce qui est réel est composé à la fois du bien et du mal. Cet état mental ignorant devient inévitablement la victime de la tentation mensongère du serpent. La culpabilité, la dévalorisation, le blâme, la tristesse, le chagrin et le manque de succès font partie de cette contrefaçon de la féminité.
Mary Baker Eddy présente en termes clairs la description biblique de la véritable féminité qui se trouve dans l’Apocalypse, et dans laquelle tout mal est détruit.
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