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Lorsque nous aimons, cela nous aide en fait à nous sentir libres. Je désirais bien plus ressentir ce sentiment que n’importe quel sentiment négatif.

Cette expérience m’a aidé à comprendre l’importance de ne pas rester centré sur moi-même, et de faire de l’amour une composante de mes prières.

Guidés par l’inspiration spirituelle du Christ, nous nous élevons au-dessus de la question : « Pourquoi cette chose négative m’arrive-t-elle ? » jusqu’à la foi en Dieu en tant que créateur du bien et non du mal.

J’ai affirmé que l’avocat, le juge et le procès devaient tous être soumis à la loi divine d’harmonie et qu’ils agissent de concert pour le bien. Cette loi divine garantissait la manifestation du bien infini, et elle était profitable à tous ceux qui étaient impliqués.

La Science Chrétienne montre que, lorsque nous nous appuyons sur Dieu et que nous cédons à la suprématie et à la sollicitude de l’Amour divin, nous découvrons de plus en plus des raisons de nous réjouir plutôt que de nous inquiéter.

J’ai réalisé que, dans cette situation, la seule puissance et la seule présence c’était Dieu.

J’avais l’impression de recevoir un câlin de la part de Dieu. Toute peur d’être mal traitée par un homme venait de se dissoudre.

Un rayon de soleil n’est pas chargé de prêter sa lumière à un autre rayon, et il n’existe pas de rayon qui soit responsable d’en porter un autre. De la même manière, mon enfant et moi recevions chacun toute notre énergie directement de Dieu.

J’ai commencé à comprendre et à ressentir que notre fils était réellement intouché et constamment protégé par son Père-Mère Dieu qui prenait toujours soin de lui, tout comme l’autre élève, et toutes les personnes à l’école.

Jésus ne dit pas que nous avons, entre autres, une dimension spirituelle, mais il dit plutôt que le spirituel, c’est-à-dire la substance du royaume de Dieu, est la seule chose qui existe et donc la seule chose qui existe nous concernant.