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J’ai terminé mes prières en réaffirmant que Dieu, l’Amour divin, est le seul pouvoir et que toute la situation était entre Ses mains. Il n’y avait rien que je puisse faire humainement pour contrôler les choses, mais je pouvais savoir que Dieu les contrôlait entièrement.

S’occuper d’une personne, défendre ses intérêts et lui apporter un soutien spirituel de façon amicale peut changer la vie. J’ai appris à écouter toujours plus les directives de Dieu, qui est la source d’amour et de sollicitude la plus élevée.

J’ai été complètement libérée de l’angoisse de ces expériences en comprenant mieux, comme le dit le premier chapitre de la Bible, que l’homme – la véritable identité de chacun de nous – a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.

Peu de temps après, papa a enlevé le gant de toilette de mon visage. La blessure s’était déjà complètement refermée. J’étais guéri !

Mon mari et moi nous sommes attachés à la vérité selon laquelle l’identité de chaque enfant – de chaque personne – est spirituelle et gouvernée par Dieu, l’Entendement divin. La seule étiquette juste que l’on puisse avoir est celle d’ « enfant de Dieu ».

A la fin du service, je ne souffrais plus. Cette nuit-là, j’ai dormi paisiblement et je me suis réveillée le lendemain matin sans douleur et pleine de joie.

Qu’était-il advenu de ce gros chagrin avant de se coucher ? Il était parti.

Avec de la quiétude, de la patience et de la présence, je ne rate rien. Je reçois de nouvelles idées qui arrivent sur les ailes de l’inspiration. J’éprouve un nouvel espoir et j’accueille avec un cœur réceptif les pensées de guérison qui produisent une transformation mentale et physique.

Maintenir en pensée le modèle correct de ce que nous sommes libère notre véritable potentiel et confirme que nous existons uniquement pour glorifier Dieu et les qualités qu’Il nous donne.

Mon entraînement ne remplaçait pas l’amour de Dieu ; c’était un moyen, une opportunité de ressentir et d’exprimer Sa force !